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Totoro versus université Meiji |
Dans cette , Tité nous apprenait que la maison dans laquelle Totoro aurait voulu vivre, selon son créateur, avait brulé. Elle avait été achetée quelques mois avant, avec le terrain l'entourant, par la municipalité de l'arrondissement de , à Tokyo. La maison a été reconstruite d'après des plans dessinés par en prenant appui sur les fondations du bâtiment d'origine, entourée d'un parc de 840 m². Ce dernier compte plus de cent plantes. La maison a accueilli un résident durant 40 ans, Ei Kondo, très satisfait de cette renaissance. Les habitants du quartier avaient réunis 6 300 signatures pour préserver cet édifice, entrainant son rachat. Le 23 juillet dernier, , chaine de télévision pour qui le réalisa une pub commémorant leur 40 ans, a diffusé Mon voisin Totoro. L'audience était en moyenne de 20 %.
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Le site propose un article sur les efforts que font la Corée du Sud et la Chine pour rattraper le Japon dans l'exportation de la culture « cool ». Le journal rappelle l'apparition du , produit coréen, au 11e (photo). Cet évènement a troublé Tetsuya Watanabe, qui s'occupe de la section Cool Japan, créée en juin dernier au sein du ministère de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie japonais. Depuis les années 1990, la Corée du Sud subventionne son industrie culturelle via une agence. Selon le président de cette agence, Lee Jae Woong, dans un marché mondialisé, le développement de l'industrie culturelle permet d'améliorer l'image du pays et d'augmenter la valeur des produits manufacturés qui y sont produits. Toujours selon lui, le gouvernement sud‑coréen reconnait que l'industrie culturelle (bande dessinée, animation, cinéma...) pourrait surpasser les autres industries au 21e siècle. En 2011, un centre du film doit ouvrir sur un polder à . Le pourrait aussi y déménager. La prochaine édition, qui doit se tenir en octobre, a un budget 4,5 fois supérieur à la première édition, en 1996. Les trois quarts du budget sont couverts par le gouvernement et la ville. De son côté, la Chine a placé le développement du culturel comme une priorité lors du de 2007. Depuis, le territoire compte une vingtaine de sites spécialisés dans l'industrie de l'animation, et des entreprises de plus de mille employés sont apparues dans ce domaine. Lors de la de mars dernier, des 59 compagnies étrangères représentées, 38 venaient de Chine et 16 de la Corée du Sud. Cependant, la Chine n'a pas percé sur le marché international et cherche à développer des projets avec le Japon (par exemple un remake d'Ikkyu‑san).
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Toujours selon , l' de Tokyo propose son programme d'été, Cool Japan, destiné aux étudiants étrangers. En plus des cours de prestigieux professeurs, de la visite du musée du , d'un voyage à Kyoto et de la visite d'un studio d'animation, les séances de shopping à et font varier le cout de ce cursus de quelques jours. Centré sur l'animation et le manga, le programme inclut aussi l'art moderne, l'architecture et de design. Depuis quelques années, ce type de cours d'été se développe dans plusieurs établissements.
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mardi 3 août 2010 @ 21:51:18 par vb2n |
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