[ FAQ ] [ Staff ] [ Contacts ] [ Stats ] [ Chat ] [ Nous aider ] [ Mode restreint ] [ Flux RSS  Facbook ] spacer
spacer



Recherche avancée

Anime Store
Anime Store
Les sorties de juillet 2015, Partie 2 : Vos nuits étoilées...
 



Les sorties de juillet 2015, Partie 2 :  Pour vos nuits étoilées...



La nuit en été, et en règle générale, il fait meilleur, plus frais. C'est le moment privilégié pour apprécier la fraîcheur, regarder les étoiles et se raconter des histoires fantastiques. Pourquoi ne pas profiter de ces instants pour raconter justement l'une des séries fantastiques ou de science-fiction que nos amis du pays du Soleil-Levant vous proposent ? Cela dit, contempler les étoiles en étant accompagné des ses amis ou de l'élu(e) de son cœur (ou du moins convoité(e)) est aussi une activité qui invite à bien d'autres pensées. Dans ce cas là, les slice of life et les romances vous sembleront bien plus appropriés pour coller aux thématiques de vos soirées.

(Découvrez aussi dans cet article une nouvelle forme de présentation que nous souhaitons tester ! Vous l'avez trouvée ? Vous aimez ? Vous détestez ? Des remarques ou des suggestions ? Rendez-vous sur et faites nous part de votre avis.)


Frissonner et rêver dans la fraîcheur de la nuit.




Adapté du jeu vidéo du même nom sorti sur PSP, God Eater nous propose une version animée pour cet été, à noter qu’une suite (God Eater 2) est sortie au Japon, reste à savoir si cette adaptation se basera sur les deux jeux ou seulement le premier. L’histoire se passe au Japon en 2071, le monde est ravagé à cause d’un monstre appelé Aragami, personne ne sait d’où il vient, la seule chose qui importe c’est son extermination. Une organisation du nom de Fenrir a été créée pour réussir cette extermination et c’est avec l’aide d’armes, les God Arcs, qu’ils vont tenter de réaliser l’impossible. Ces armes furent développées avec les cellules d’Aragami, permettant de combattre ce monstre en utilisant ses propres pouvoirs. Les membres de Fenrir spécialisés dans la chasse d’Aragami ont pour nom God Eaters et avec l’aide de leur God Arcs ils vont tenter de se débarrasser de ce monstre une bonne fois pour toute.
Les adaptations de jeux vidéo en animés sont rarement un bon signe, il y a bien entendu quelques exceptions qui échappent à la règle (Tales of Vesperia The First Strike, Gungrave), espérons que God Eater en fasse partie. Si l’on se penche sur l'équipe, difficile à dire ce qui en ressortira, d’un côté nous avons à la réalisation Hirao Takayuki qui nous a proposé du bon (Majokko Shimai No Yoyo To Nene, Kara no Kyoukai 5: Mujun Rasen et du (beaucoup) moins bon (Gyo). L’excellente nouvelle c’est que l’on a Shîna Go pour les musiques. Etant le compositeur du jeu, il se peut qu’il réutilise tout simplement ses compositions, ce qui n'est pas un mal puisqu'elles sont sublimes. Je vous conseille aussi de jeter un œil à quelques une de ses pistes sur le jeu Tales of Legendia qui sont toutes aussi excellentes. Côté doubleurs, il y a du beau monde, mais j’ai trouvé surtout intéressant d’y voir Kazuya Nakai qui double Zoro dans One Piece et Hirata Hiroaki qui lui double Sanji de la même série.
On saura d’ici peu si cette série en vaut la chandelle, le jeu étant très apprécié par les amateurs d’action RPG. Espérons que cette adaptation du studio Ufotable lui fera honneur, par contre pour les allergiques aux séries avec un effet « cell shading », passer votre chemin.

-Ash-





Dès le 09 juillet
Gakkô Gurashi est à l'origine un manga débuté en 2012, écrit par Norimitsu Kaihô et dessiné par Sadoru Chiba.
L'histoire nous entraîne aux côtés de quatre petites filles, membres du Club de Vie de l'École : Yuki, Rii, Megu et Kurumi. Leur quotidien prend une tournure tragique le jour où une épidémie de zombies s'est subitement déclarée. L'établissement infesté, nos quatre héroïnes, leurs professeurs et quelques élèves encore humains tentent dès lors de survivre dans cet enfer.
L'animé est produit par Lerche (Danganronpa the Animation), avec la réalisation de Masaomi Ando (Vampire Knight) et le character design de Haruki Izuka (Black Butler).
En découvrant les premières images, il est normal de s'imaginer un animé moe tout mignon et rose. Mais ne vous méprenez surtout pas! Gakkô Gurashi est bel et bien un animé d'horreur, d'épouvante et de drame, avec ce détail en plus au niveau de l'âge des personnages, ce qui est en soit encore plus dérangeant.

-MIRAhidote-





Certains se souviennent peut-être encore de Sousei No Aquarion, série sortie en 2005 et qui proposait un univers original et fort intéressant, mais qui avait aussi pas mal de défauts. L'animé était assez connu pour les "orgasmes" de ses pilotes durant la fusion des vaisseaux. En 2012, sa suite, Aquarion Evol, présentait un nouveau casting de héros mais le concept restait similaire. Malheureusement, nombreux furent déçus par la fin. Qu'en est-il donc de cette nouvelle saison qui vient tout juste de démarrer fêtant par la même occasion les dix ans de la série d’origine ? Là encore on nous propose de nouveaux personnages principaux, et du peu qu'il m'a été donné de voir, il semble que l'on soit en présence d'une formule semblable aux volets précédents. Attendez-vous donc une nouvelle fois à des combats de mecha, et bien évidemment les traditionnelles fusions sont toujours de la partie.
Une chose est sûre, la production a décidé de partir sur de nouvelles bases puisque l'équipe a complètement changé pour cette suite. Enfin presque puisque si Yoko Kano ne répondra pas présent cette fois-ci, Ayako Otsuka, qui avait participé à la composition d’Aquarion Evol, est cette fois‑ci au commande. À la réalisation, Sato Hidekazu prend la relève, et bien qu’il ait beaucoup d’expériences acquis sur divers projets, certains d'entre eux ne sont pas très rassurants. Voir ainsi dans son C.V. qu'il a réalisé Nobunaga the Fool laisse présager le pire bien qu'il ait également travaillé sur plusieurs épisodes de Slayers Next et Slayers Try, ce qui rassure un minimum.
Ce nouvel animé saura-t-il remonter le niveau d’Aquarion Evol ? D’un point de vue personnel, je n’ai pas beaucoup d’espoir et la bande annonce, même si elle ne montre pas grand chose, ne m’a pas rassuré. Je continue tout de même d'espérer qu’Aquarion Logos puisse me prouver le contraire…

-Ash-





Dès le 03 juillet
Classroom Crisis est un animé racontant le quotidien de deux amies : Iris Shirazaki (doublée par Sora Amamiya, Elisabeth dans Nanatsu no Taizai) et Mizuki Sera (doublée par Ari Ozawa, Sakura Chiyo dans Gekkan shoujo Nozaki-kun), toutes deux lycéennes à l'école technique A-TEC. Jusque là tout semble ordinaire, sauf que celle-ci se trouve sur Mars! En effet, le spectateur est propulsé au sein d'un monde où l'Homme a colonisé le système solaire, les individus pouvant alors librement circuler et s'installer sur les différentes planètes.
Iris souhaite devenir pilote d'essai, quant à Mizuki, son rêve est d'être mécanicienne aéronautique. Elles sont supervisées par le grand frère de Mizuki, Kaito (doublé par Shôtaro Morikubo, Okita Sôji dans Hakuôki), qui est aussi le professeur du programme de développement du lycée. Mais l'établissement va connaître un événement bouleversant le jour où une élève transférée est capturée sur la route vers Mars. Kaito lance alors une grande opération de sauvetage pour la retrouver.
L'œuvre est produite par le studio Lay Duce (Sinbad no Bôken), réalisée par Kenji Nagasaki (Gundam Build Fighters), avec le scénariste Fumiaki Maruto et le character designer Hiro Kanzaki (Oreimo). L'animation est dirigée par Satoshi Ishino et la musique composée par Yûki Hayashi (Death Parade).
Avec ce drôle de mélange entre school life et science-fiction, Classroom Crisis ne se prend pas trop au sérieux et préfère laisser les conquêtes spatiales de côté et se concentre plutôt sur la vie, au final, presque banale des étudiants martiens.

-MIRAhidote-





Chaos Dragon Sekiryû Sen'eki est un animé adapté du roman Red Dragon commencé en 2012 et coécrit par six auteurs japonais : Kinda Makoto, Gen Urobuchi, Nasu Kinoko, Kôgyoku Izuki, Shima Doriru et Narita Ryogo. Derrière cette transposition à l'écran, les studios Connect et Silver Link, qui ont par le passé déjà collaboré à la production de Strike the Blood.
Chaos Dragon raconte le récit d'un monde fantasy livré à de terribles batailles entre sept pays dans le but de sa domination. Dix ans plus tard, avec la victoire de l'empire Donatia, une paix fragile s'installe. Mais celle-ci est de courte durée, car le monde se retrouve plongé dans le chaos une nouvelle fois après l'invasion de l'île indépendante Nil Kamui par l'empire Donatia provoquant le réveil de l'incontrôlable et puissant Dragon Rouge.
L'histoire nous est présentée à travers le point du vue de cinq protagonistes : Ro Chenfa, jeune femme à la solde d'une mystérieuse organisation d'assassins; Eiha, l'esclave d'une créature monstrueuse; Suaro, guerrier faisant la fierté de Donatia; Ibuki, fille d'une famille noble qui gouvernait autrefois et prétendant pouvoir faire revenir les morts et enfin, Kagraba, un marchand inconnu de tous.
La série est réalisée par Masato Matsune (Kamisama Dolls), avec les scénaristes Shô Aikawa (Eureka Seven AO) et Ukyo Kodachi (Gunslinger Stratos). La musique est composée par Hitoshi Sakimoto (Romeo x Juliet).
Les vidéos promotionnelles ne suggèrent pas une animation du plus haut niveau, mais la qualité de l'animé est certainement rehaussée grâce à ce scénario ambitieux et intéressant qui prend le parti de se fonder sur le ressentis de cinq différents protagonistes face aux mêmes événements. Avec Chaos Dragon, on s'attend donc à un développement particulier des personnages, un rythme dynamique, le tout au sein d'un univers fantastique, certes classique, mais dotée de tensions politiques relativement complexes. Reste à voir si le pari sera tenu.

-MIRAhidote-





Dès le 4 juillet
La saison 2 de Gatchaman Crowds débarque : quels sont les changements que peut bien nous réserver cette suite?D'un point de vue scénaristique, pas de grand tournant annoncé, nous suivons toujours les aventures d'Hajime, jeune Gatchaman qui nous apprend à être droit dans nos convictions en restant ouvert d'esprit. Ceux qui vont changer la donne sont les nouveaux personnages qui risquent, du moins pour certains, de corser les choses, ou au contraire d'aider notre héroïne à les améliorer. En premier lieu il y a l'impulsive Tsubasa Misudachi (doublée par Kaori Ishihara, Aladdin dans la série Magi), une lycéenne de seize ans mais qui est surtout la nouvelle Gatchaman et coéquipière de Hajime. Ensuite vient Rizumu Susuki (doublé par Yuichiro Umehara, Wakasa dans Orefuro), un jeune homme de dix-neuf ans étudiant dans une grande école de médecine. Personnage mystérieux et peu communicatif, il est à la tête d'une mystérieuse organisation, ses agissements sont à guetter. Enfin pour compléter ces nouvelles têtes il y a Gelsadora (doublée par Kana Hanazawa, Akane Tsunemori dans Psycho Pass), une alien pacifiste qui a dû atterrir de force sur Terre. Elle est sous la protection des Gatchaman. Gelsadora n'est pas malintentionnée mais au contraire très proche des humains et de Tsubasa. Et en plus d'apprécier tous ces nouveaux personnages, nous allons bien sur revoir les anciens qui ne seront pas en reste !
Ce nouveau volet est toujours à la charge du studio Tatsunoko Production (Wake up, Girls!), réalisé par Kenji Nakamura, avec la contribution du scénariste Ono Toshiya(Magic Kaito 1412) et Yuichi Takahashi (Macross Frontier : Itsuwari no Utahime) à la direction de l'animation.
Gatchaman Crowds Insight est une suite qui s'annonce divertissante et sympathique, cachant peut-être une histoire plus profonde, tout comme la première saison.

-MIRAhidote-






Ushio to Tora est à l'origine un manga de Fujita Kazuhiro (Moonlight Act) débuté en 1990 dans le Weekly Shonen Sunday, comptant aujourd'hui 33 tomes. OAV mise à part, l’œuvre n'avait jamais été adapté en série animée. L'erreur est désormais réparée, et ceci grâce aux studios MAPPA (Shingeki no Bahamut) et Voln. Nous retrouvons aux commandes le réalisateur Satoshi Nishimura (Trigun), Inoue Toshiki (Death Note) au scénario et Mori Tomoki au character design.
Pas de nouveauté d'un point de vue scénaristique : l'histoire est celle d'Ushio Aotsuki, un adolescent n'ayant jamais pris au sérieux les récits de son père au sujet d'un démon que son ancêtre aurait battu. Mal lui en a pris lorsque le jeune homme découvre par hasard son existence, et pire encore lorsqu'il se voit obligé de le libérer. Cependant le réveil de Tora (c'est le nom de la bestiole !) attire de nombreux autres démons mal intentionnés. Ushio et Tora vont alors devoir faire équipe afin de protéger les humains de ces créatures.
Rikiya Koyama (Hideo Kuze dans Ghost in the Shell : Stand Alone Complex) donne sa voix au démon, tandis que Tasuku Hatanaka (Hisato Sasamori dans World Trigger) double Ushio.
Le manga étant assez épisodique (un chapitre, un démon, un combat), l'anime devrait également adopter ce rythme. Pour les amateurs d'action et d'histoires fantastiques donc.

-MIRAhidote-





Ces dernières années, on a vu arriver de plus en plus de séries utilisant le thème du MMORPG comme élément narratif principal. L'exemple le plus connu est certainement la licence .hack qui met en scène un jeu vidéo basé sur le principe de la réalité virtuelle. De son côté, la série BTOOOM ! prend le parti inverse et met en scène un jeu mortel utilisant les codes vidéo-ludiques. Il y a évidemment d'autres exemples et on retiendra parmi les succès récents Sword Art Online et Log Horizon.
Prévue pour juillet 2015, Overlord exploite ces mêmes thématiques. Dans cette série, produite par le célèbre studio Madhouse, on découvre Yggdrasil, un jeu en ligne sur le déclin. Momonga, l'un des joueurs les mieux classés refuse l'arrêt des serveurs et décide de rester connecté jusqu'au bout. Il découvre alors que le jeu continue de fonctionner et que divers PNJ ont pris vie. N'ayant aucune véritable vie sociale, Momonga va se servir de son avatar, un squelette à l'air menaçant pour prendre en charge la destinée de ce monde violent.
Une fois encore, Madhouse apporte une idée intéressante, dans une veine assez proche de celle de No Game No Life. Avec un univers de base assez sombre, la série semble tout de même tendre vers la comédie et peut-être même le ecchi ce qui peut-être une bonne chose si la réalisation est à la hauteur.
Soyons confiant, ce ne serait pas la première fois que Madhouse surprendrait agréablement son monde.

-Jules-






Ryôgo Narita est un romancier japonais célèbre (entre autre) pour avoir créé les séries Baccano! et Durarara!!. En 2007, le studio Brain`s Base adapte le premier des deux en animé en confiant la réalisation à Takahiro Ômori, connu à l'époque pour son travail sur Jigoku Shôjo et qui réunit sur ce projet l'équipe qu'il avait déjà dirigée en 2004 sur Koi Kaze.
Si le succès de l'animé Baccano! n'est pas immédiat, l’œuvre se construit petit à petit un statut de série culte. C'est donc assez logiquement qu'en 2010, Narita fait de nouveau appel à Brain's Base pour adapter Durarara!!. Cette nouvelle série se place dans la continuité de la précédente avec un staff identique et un générique rappelant Gun`s & Roses (celui de Baccano!).
L'histoire de Durarara prend place à Ikebukuro, un quartier de Tokyo en mettant en scène les rivalités entre gangs. Avec un grand nombre de protagonistes, la série se taille une réputation de joyeux bazar pas très organisé tout en laissant un souvenir agréable à ses spectateurs.
Cinq ans plus tard, c'est le studio Shuka (manifestement en lien avec Brain's base) qui remet la licence sur les rails avec un projet ambitieux de trois séries, étalées sur un an. Le premier volet, sorti en janvier dernier, apportait plus de questions que de réponses mais son final laissait présager de très bonnes choses. Il ne reste donc plus qu'à espérer que Durarara!!x2 Ten soit à la hauteur de nos attentes.

-Jules-






Rokka no Yûsha est à l'origine un light novel d'Ishio Yamagata, ensuite adapté en manga par Kei Toru pour connaître cet été une adaptation animée par le studio Passione (Rail Wars, opérant déjà comme assistant à la production sur Fairy Tail). À la réalisation nous retrouvons Takeo Takahashi (Rozen Maiden), pour la direction de l'animation Koiso Sayaka (Garo : Honoo no Kokuin), sur des musiques d'Oshima Michiru (Zetsuen no Tempest).
L'histoire nous entraîne aux côtés d'Adlet, jeune homme doté d'une grande confiance en soi, qui a été choisi par la déesse du destin pour être parmi les six guerriers qui recevront le pouvoir de défaire le Majin, l’Être Maléfique. Mais lorsque ils se retrouvent sept à se présenter au rassemblement, suspicion et confusion règnent alors entre les élus. Pendant ce temps, la menace du Majin continue de planer.
Magie, démons, mystères et aventure sont au rendez-vous dans ce shônen fantasy. Rien de nouveau sous le soleil a priori, on espère dès lors que l'animé ne s'enfermera pas dans les clichés du genre et saura affirmer son identité.

-MIRAhidote-






Cela deviendrait presque une habitude : tout les trois ans, en été, Hosoda Mamoru nous gratifie d'un nouveau film. Pour les mauvais élèves qui dorment au fond de la classe depuis neuf ans, Hosoda Mamoru est un auteur-réalisateur, souvent présenté comme le meilleur de sa génération. Il possède en effet une capacité à maîtriser tous les styles pour produire de grands films populaires et toujours émouvants. Nous ne saurions trop recommander à ceux qui les auraient ratés de regarder de toute urgence La Traversée du Temps, Summer Wars et Les Enfants Loups.
Bakemono no Ko, son dernier long métrage sorti au Japon le 11 juillet devrait demeurer dans cette veine. On découvrira en effet le destin d'un jeune humain, adopté par un Kumatetsu, un habitant du monde des bêtes. Les différentes bandes annonces disponibles sur la toile promettent déjà un spectacle haut en couleurs, mêlant combats endiablés et réflexions sur les liens entre maître et apprenti.
Pour finir, il est à noter que pour la deuxième fois consécutive, c'est le studio Chizu qui est au commande. Cette société créée par Hosoda lui-même semble lui offrir une plus grande liberté créative que par le passé ce qui n'est pas pour nous déplaire.

-Jules-



Les amis des vacances et les amours de l'été





Avec la sortie du tome 17 d'Akatsuki no Yona au Japon arrivait une autre bonne nouvelle : l'annonce d'une OAV prévue pour les derniers jours d'été.
Yona Princesse de l'Aube est un shôjo centré sur l'histoire de la princesse Yona, à laquelle il arrive moult péripéties pour le moins bouleversantes. Heureusement, celle-ci est toujours entourée de bons compagnons qui font tout pour lui venir en aide.
Ce manga de Mizuho Kusanagi a connu une adaptation en série animée de 24 épisodes l'automne dernier. Nous retrouvons ainsi à nouveau le studio Pierrot (Tokyo Ghoul, Beelzebub) à la tâche, rassemblant le réalisateur Kazuhiro Yoneda, le character designer Maho Yoshikawa (Absolute Duo) et le scénariste Shinichi Inotsume (Jojo's Bizarre Adventure).
L'OAV, quant à elle, est l'adaptation de deux chapitres spéciaux du tome 12. La question peut dès lors se poser quant à savoir s'il ne s'agirait pas d'une OAV de transition annonçant une saison 2 à paraître prochainement. Rien n'est certain mais l'espoir fait vivre... pour l'instant, OAV à voir et affaire à suivre !

-MIRAhidote-






Se retrouver propulsé à l'ère Meiji (1868-1912), serait-ce pour vous un rêve ou un cauchemar? Les voyages dans le temps étant plutôt rares, la question ne se pose pas souvent. C'est pourtant ce qu'il va arriver à notre héroïne, Mei Ayazuki, une banale lycéenne. Peut-être que sa rencontre avec un certain magicien nommé Charlie y est pour quelque chose... Enfin, Mei n'a pas le temps de se poser la question, la voila à Tôkyô justement pendant l'ère Meiji. Heureusement que pour faire pencher la balance du côté "rêve", elle fait la rencontre de plusieurs figures historiques de l'époque, tel que le célèbre écrivain Mori Ougai, qui se trouvent être tous de magnifiques jeunes hommes.
Tout est dit, Meiji Tokyo Renka est un film plus orienté vers la romance que l'Histoire. Surtout quand on sait qu'il est adapté du jeu de séduction éponyme, sorti en 2012 sur smartphone et en 2013 sur PSP (tout ceci uniquement au Japon), et édité par Broccoli ; la licence a aussi connu une adaptation en manga en 2012 aux éditions Kadokawa.
Le film est produit par le studio DEEN (Is This a Zombie?), avec comme réalisateur Hiroshi Watanabe (Shining Tears X Wind), la scénariste Yoshiko Nakamura (Shinsekai Yori), et sous la supervision de Yukiko Uoizumi, le scénariste du jeu.
Romance et harem inversé avec un fond historique, un mélange similaire à Hakuouki, série également réalisée par le studio DEEN. Espérons que Gekijôban Meiji Tokyo Renka reste dans la même veine : une réussite.

-MIRAhidote-






Autour de l’œuvre

Kokosake est le nouveau film réalisé par le staff d'AnoHana. Ainsi, l'histoire se déroule une fois de plus dans la ville de Chichibu.

Synopsis

Jun Naruse est une petite fille joyeuse et pleine de vie. Mais un jour, sa famille se déchire à cause de ses paroles. Afin de l'empêcher de continuer à blesser autrui par ses mots, la fée des œufs scelle sa langue : la voilà muette.
Depuis lors, Jun est introvertie et vit dans l'ombre des autres. Cependant, et à son grand désespoir, elle est désignée pour jouer le rôle principale dans une comédie musicale.

Staff

Studio : A-1 Pictures (Shin Sekai Yori)
Réalisateur : Tatsuyuki Nagai (Toradora)
Character designer : Masayoshi Tanaka (Katekyo Hitman Reborn!)
Scénariste : Mari Okada (Nagi no Asukara)

Seiyû

Jun Naruse : Inori Minase (Hestia dans DanMachi).

Avec cette histoire triste et touchante, Kokosake est un film dramatique en tranches de vie, dont le message apparent semble être le poids de nos mots, bons ou mauvais.



-MIRAhidote-






Omniprésent dans l'animation japonaise, le mondes des seiyû (doubleurs) est pourtant très peu exploité dans les séries. Parmi les rares œuvres qui ont exploré ce thème, on peut citer Shirobako, qui tente de présenter l'industrie de l'animation dans son ensemble et bien sûr REC, dont toute l'intrigue tourne autour de la profession de doubleur. Si nous évoquons ici ce métier extrêmement populaire dans l'archipel du soleil levant c'est bien sûr en rapport avec la sortie en juillet de Sore ga Seiyû!. Cette comédie produite par Gonzo s’intéressera à un trio de doubleuses mais devrait a priori mélanger description du métier et gags déjantés. En effet, Sore ga Seiyû! est à l'origine un manga Masumi Asano (elle même seiyû) et Kenjirô Hata, le créateur de Hayate no Gotoku!.
Le scénario de cette série à été confié au trio Michiko YOKOTE, déjà à l'œuvre sur Genshiken alors que la réalisation sera gérée par Ikehata HIROSHI (Robot Girls Z)
Côté doublage, le choix s'est porté sur l'avenir avec trois doubleuses relativement inexpérimentées : Rie TAKAHASHI, Marika Kôno et Yuki NAGAKU. Il reste à savoir si elle seront à la hauteur de leur défi, jouer leurs propres rôles, celui d'apprenties seiyu.

-Jules-






En septembre 2009, le studio Silver Link commençait la diffusion d'une petite série bucolique, Non Non Biyori. Adapté du manga du même nom, cet animé de 12 épisodes met en scène un groupe d'enfants résidant dans un coin très reculé de la campagne japonaise. D'une certaine manière, cette simple phrase résume à elle seule la série dans son intégralité. Non Non Biyori, au final c'est 12 épisodes de pure détente avec une seule ambition, reproduire une atmosphère campagnarde, hors du temps et presque universelle.
Les fans du genre contemplatif seront donc ravis d'apprendre l'arrivée d'une suite à cette douce sucrerie rurale intitulée Non Non Biyori Repeat. Pour ce nouvel opus, l'équipe de production sera sensiblement la-même que pour la précédente avec Shinya Kawatsura (Kokoro Connect) à la réalisation et Reiko Yoshida (K-on!) au scénario. Par conséquent, il y a fort à parier que Silver Link réussira de nouveau à donner vie à ses quatre jeunes héroïnes et en particulier à Renge, véritable star de la série.

-Jules-






En effet Wakaba Girl est à l'origine de courtes histoires comic strip (une bande dessinée de quelques cases disposées en une bande le plus souvent horizontale). Elle a été révélée dans un magazine japonais, le Hôbunsha entre 2010 et 2013 avant de se voir hébergée sur Internet. Cependant, le succès de cette œuvre écrite par Yui Hara a également attiré l'attention du studio d'animation Nexus afin d'en faire une série animée. C'est comme ça que les quatre héroïnes de Wakaba Girl se verront créées par Kana Ishida, character designer (Aquarion Evol et The Irregular at Magic High School). Le script est quant à lui de Jukki Hanada (No Game No Life, Love Live! School Idol Project, K-On!, Steins;Gate, Love, chunibyo and other delusions!, etc.). Tout ceci sous la direction de Seiji Watanabe (Inuyasha, Full Metal Panic! The Second Raid, Crayon Shin-chan - Film 11, ...). L'histoire de cette série nous conte le quotidien de Wakaba Kohashi, une jeune fille modèle et brillante venant d'une famille aisée. Ses aventures sont partagées par ses trois copines : Moeko Tokita, très innocente et vivant dans ses pensés féériques, Mao Kurokawa, capricieuse avec son caractère bien à elle et enfin Nao Mashiba, une jeune sportive.

-Karore-





Dès le 7 juillet
Se déclarer à la fille qu'on aime est une épreuve difficile. Pour cela, Asashi Kuromine prend son courage à deux mains et avoue ses sentiments à sa camarade de classe Yôko Shiragami. Mais c'est avant que celui-ci ne découvre qu'elle est en réalité... une vampire ! Bien qu'il ne soit pas une personne de confiance en matière de secret, il jure de ne rien révéler. Mais cela sera dur pour lui de ne rien dire aux élèves du lycée, surtout avec les autres êtres surnaturels qui s'y cachent.
L'animé est adapté du manga éponyme d'Eiji Masuda publié dans le Akita Shônen depuis 2013 et compte aujourd'hui dix tomes au Japon. Produite par TMS Entertainment (Lupin III) la série est réalisée par Yasutaka Yamamoto (Mondaiji-tachi ga Isekai kara Kuru Sou Desu yo?), avec un scénario écrit par Kenichi Yamashita (Uchuu Kyoudai) et le character designer Hirotaka Marufuji (Aquarion Evol).
En conclusion, Jitsu wa watashi wa s'annonce comme une comédie romantique loufoque et délirante, un bon animé sans prise de tête a priori, de quoi se détendre et se divertir un peu.

-MIRAhidote-






Tiré du manga éponyme écrit par Shungiku Nakamura, Junjou Romantica connaît sa première adaptation animée en 2008 et se veut être depuis une référence en matière de shônen ai. Après une seconde saison sortie dans la foulée, ce n'est qu'en ce mois de juillet que la suite s'apprête à voir le jour au sein du studio Deen, connu notamment pour 07 Ghost ou encore Fate/Stay Night.
Fidèle à son poste, ce troisième volet est une nouvelle fois réalisé par Chiaki Kon (Sekai-ichi Hatsukoi), et c'est avec enthousiasme que l'on retrouve les mêmes seiyû : Takahiro Sakurai (Misaki Takahashi, Suzaku Kururugi dans Code Geass : Hangyaku no Lelouch) et Hikaru Hanada (Akihiko Usami, Master dans Summer).
Junjou Romantica nous plonge au cœur de trois relations amoureuses bien distinctes dont les protagonistes principaux restent Misaki Takahashi et Akihiko Usami. Alors que l'histoire nous avait auparavant invité à suivre l'évolution et l'acceptation des divers sentiments des personnages, ce troisième chapitre se profile pour continuer à nous faire rire et frémir.

Bande annonce.

-Nayruu-






Masahiro Andô est un réalisateur qui s'est fait remarquer du grand public en 2007 avec Sword of the Stranger, un film créé par le studio Bones. Deux ans plus tard, il collabore avec la scénariste Mari Okada sur la série Canaan, produite par P.A. Works, un thriller politique rempli de femmes sexy. En 2011, la même équipe se réunie pour réaliser une série beaucoup plus paisible, Hanasaku iroha, qui parle d'adolescence et d'amour avec une magnifique auberge traditionnelle en guise de décor. Par la suite, Andô revient au thriller avec Blaster of Tempest, série écrite (une fois encore) par Mari Okada et produite par Bones, le studio de sa première réalisation.
En 2015, Andô et Bones remettent le couvert avec l'adaptation du manga Shôjo Akagami no Shirayuki-hime. L'histoire de ce dernier se concentre sur Shirayuki, une jeune fille aux cheveux rouge qui doit quitter son pays pour fuir les avances du Prince Raji. Avec de nombreuses références aux contes d'occidents et d'orient, le manga tire vers le registre du merveilleux tout en explorant les ressorts des sentiments amoureux.
Dans ce domaine, Andô a déjà démontrer ces compétences qui seront cette fois mis au service d'un scénario de Deko Akao, scénariste et parolière de chanson qui a travaillé sur la série Noragami. Au regard de tout ces éléments, on peut penser que Akagami no Shirayuki-hime sera assez proche de séries comme The World is still Beautiful ou encore Yona, Princesse de l’aube. Avis aux amateurs.

-Jules-






Nous sommes invités au sein du lycée Hoshi no Umi Gakuen à suivre l'évolution de quatre jeunes étudiants aux pouvoirs spéciaux. Et si celui de Yû Otosaka lui permet de naviguer paisiblement dans sa vie de lycéen, sa rencontre avec Nao Tomori va bouleverser cette dernière.
Après des œuvres telles que Angel Beats ou encore Clannad, c'est avec impatience que l'on peut attendre la sortie de la toute nouvelle création de Maeda : Charlotte. Encore une fois, en plus d'être scénariste, il prend également en charge la musique de l'animé ainsi que des thèmes principaux de l'opening et de l'ending. Ce n'est bien évidemment pas seul qu'il mène sa barque mais accompagné du réalisateur Yoshiyuki Asai (assistant directeur sur Captain Earth) et du studio P.A. Works (Angel Beats). Kanami Sekiguchi (Canaan) fait également partie de l'équipe en tant que character designer.



-Nayruu-


Ici s'achève notre sélection non exhaustive. Nous espérons que vous avez apprécié cet article et vous souhaitons le plus agréable des étés devant votre sélection parmi toutes ces séries. Rendez-vous en octobre pour la prochaine cargaison massive d'animés.


Pour revenir à la partie 1,
c'est ici
.



Nous vous invitons à discuter de l’article sur .

 
Le 15-07-2015 à 21:14:33 par : Nayruu, Karore, Ash, MIRAhidote, Jules, Kaorisuzuchan, Kenji Shinoda, Shinku, Mouaadiib, JigoKu Kokoro

Version 1.7 - Copyright © Association Animeka 2002-2022 - Termes d'utilisation.