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Shrek 4 : Il était une fin (2010) |
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Titre alternatif | Shrek Goes Fourth [Titre provisoire]
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Synopsis | Shrek n'en peut plus ! Lui dont la seule apparition faisait fuir les gens a l'impression d'être devenu une attraction foraine. Sa vie se résume-t-elle à langer ses trois marmots ? Non, lui assure le nain Tracassin. Il fait miroiter à l'ogre de revivre durant une journée l'heureuse époque où on le craignait. En échange, juste un tout petit jour de son passé… Le marché est conclu et Shrek regoûte aux joies de passer pour un monstre. Mais il va vite comprendre qu'il a été piégé. Tracassin lui a pris le jour de sa naissance.
Shrek se retrouve dans un univers où il n'a jamais existé et dont il disparaîtra pour toujours au petit matin ! Emprisonné, il s'évade grâce à l'aide involontaire de l'Âne. Souci pour Shrek : dans cette version du royaume Fort Fort Lointain dominée par Tracassin, Bla-bla ne le connaît pas. Quant à Fiona, évadée seule de son donjon, elle est devenue une guerrière à la tête de la résistance.
Pour ne rien arranger, le joueur de flûte, mercenaire à la solde du tyran Tracassin, a eu pour mission d'arrêter Shrek et tous les ogres qui, cachés dans la forêt, soutiennent Fiona. Emprisonnés au château, Shrek, Fiona et les ogres renversent un instant la situation. Un titanesque combat contre les sorcières, âmes damnées du nain, éclate. Shrek a peu de temps devant lui…
-Gogeta- |
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Critiques | « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. » C'était la conclusion des trois premières aventures du célèbre ogre Shrek et de sa tribu d'amis. Que raconter après ça ? Les gens heureux n'ont pas d'histoire, c'est bien connu. Les épisodes deux et trois de la saga, entre le décevant et la carrément bof, en faisaient déjà la démonstration. Qu'allait donc bien pouvoir nous apporter cette nouvelle suite, présentée comme le chapitre final ? Le format 3D annoncé est si souvent une sucrerie ajoutée sur un gâteau pour pallier son absence de goût que l'on craignait le pire. Mais le pire n'est pas arrivé. Bien au contraire. Si la 3D n'apporte absolument rien au film, le scénario, malin et décalé par rapport à la saga, permet un savoureux voyage dans l'histoire de Shrek. Le petit jeu des différences entre les deux mondes, par exemple avec le chat Potté devenu obèse, permet de bons gags, mais surtout, le dessin animé évite la surenchère dans l'humour ou les effets énormes qui avaient plombé les deux volets précédents. Même si le rythme mollit par moments, on se réjouit de revoir à l'œuvre toute la petite bande, avant qu'elle aille sagement retrouver ses enfants pour vivre enfin heureux. Il suffit d'une bonne histoire… Cela semble parfois si simple !
-Gogeta- |
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Shrek 4 : Il était une fin © 2009 STEIG William / DreamWorks Animation
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