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Sacred Seven |
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Titre alternatif | |
Synopsis | Alma Tandôji, lycéen de dix-sept ans en deuxième année dans un lycée de Yokohama, est évité par les élèves de l'établissement. Son apparence froide et taciturne cache en effet un lourd secret : trois ans auparavant, mû par une puissance incontrôlable, il a expédié dix-huit lycéens aux urgences et a, de ce fait, écopé de dix mois de suspension scolaire pour blessures graves. Alors qu'il fait tout pour oublier sa malédiction, Alma est contacté par Ruri Aiba, héritière de la fondation Aiba, et Makoto Kagami, son majordome, pour les aider à mettre fin aux méfaits d'une entité connue sous le nom de Pierre Obscure : celle-ci cherche à assimiler d'autres pierres afin d'augmenter son propre pouvoir, et sa nouvelle cible est à Yokohama. D'abord réticent à l'idée d'utiliser la sombre force tapie en lui, Alma la libère lorsqu'il s'aperçoit que Wakana, la seule lycéenne qui ose lui parler, a été blessée par une explosion causée par le monstre. Incapable de dominer la violence de ses pulsions destructrices, il est stoppé in extremis par Ruri qui lui permet, au moyen d'une forme de pacte, de réveiller son véritable pouvoir : le Sacred Seven…
-Renegade- |
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Critiques | Sacred Seven est un shônen reprenant en grande partie les classiques du genre mais qui réussit à s'en tirer de façon honorable grâce à une exploitation globale bien maîtrisée. L'animation est bonne, les combats fluides, bien dessinés et relativement nombreux. Le scénario se tient, sans non plus chercher trop loin. La bande-son est de bonne qualité, et on a même droit à deux génériques de début de bonne facture. Le character design reste standard, rien de particulier à dire là-dessus. La surprise vient de deux points : Ruri Aiba, archétype du personnage hésitant qui passe son temps à se faire protéger, est capable d'une détermination et d'une volonté impressionnantes et inhabituelles du genre, et ce malgré une apparence très « shôjo ». Le second point surprenant porte sur les armures des utilisateurs du Sacred Seven : on se rend vite compte qu'elles apportent un style et un charisme uniques à leur porteur, malgré une première impression assez pathétique. Mais l'animé ne reste pas sans défaut. Le final est plutôt médiocre, avec un méchant bien psychotique, absolu et peu travaillé. On nous ressort même le pouvoir de l'amitié, qui finit par n'avoir plus aucune crédibilité, tout comme l'armée de maids équipées de katana, de fusils de sniper, de bazookas. Tout cela s'équilibre pour donner un shônen qui se laisse regarder mais ne révolutionne pas le genre. Pour les adeptes, c'est à regarder. Pour les autres, passez votre chemin, vous ne manquerez pas grand-chose.
-Hive- |
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Note de la rédaction | |
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Sacred Seven © 2011 YATATE Hajime [Sunrise] / Sunrise, Bandai Visual
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