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Titre alternatif | |
Synopsis | Sous une pluie battante, Keiichiro, ancien musicien amateur, découvre une androïde abandonnée au milieu d’une décharge. Ne semblant plus fonctionner, il tente de l’emmener à un spécialiste pour que celui‑ci la répare. Cependant, ce modèle étant trop ancien, les pièces nécessaires ne sont plus disponibles. La nuit même, le mécanisme se remet comme par magie en marche et Keiichiro découvre alors le sourire de celle qu’il appellera par la suite Flower. Cette dernière commence ainsi une nouvelle vie en sa compagnie et découvrira que Keiichiro garde en lui les séquelles d’une tragédie s’étant déroulée par le passé…
-Syaoran- |
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Critiques | Bien souvent traitée dans bon nombre d’œuvres ecchi, l’histoire d’un jeune homme faisant l’acquisition d’une androïde est devenu un sujet récurrent, presque banal dans l’univers de la japanimation. Il y avait donc de quoi être sceptique face à la venue d’une unique OAV revisitant un domaine déjà bien exploré.
Bien entendu, Kowarekake no Orgel n’invente fondamentalement rien mais arrive à aborder ce thème avec beaucoup de légèreté et de pudeur. Par conséquent, porté par le sourire innocent de Flower, on observe la vie quotidienne de nos jeunes héros avec une certaine attention. En effet, à l’aide de ces personnages attachants au caractère suffisamment éloigné des stéréotypes habituels, on finit rapidement par s’intéresser à ce scénario flirtant avec un style mélangeant mélancolie et drame. À la vue de sa durée, l’aventure est donc loin d’être déplaisante à suivre, surtout que l’on découvre au fil de celle‑ci que le plus grand intérêt concernant l’œuvre réside tout simplement dans sa magnifique conclusion se trouvant être onirique à souhait.
Finalement, Kowarekake no Orgel, bien que traitant d’un thème déjà bien exploité par le passé, arrive à se démarquer brillamment des autres œuvres grâce à ce ton doux et chaleureux qu’il empreinte. Ajouté à cela, la série possède une fin d’une poésie intense qui lui assure de laisser de manière définitive une petite trace dans nos pensées.
-Syaoran- |
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Kowarekake no Orgel © 2009 POP / Electromagnetic Wave
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