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| Kimi ga aruji de shitsuji ga ore de | |
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| Titres alternatifs | 君が主で執事が俺で They are my noble Masters
They Are My Noble Masters
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| Synopsis | Ren et sa sœur se sont enfuis de chez eux, vraisemblablement en raison de la violence de leur père. Livrés à eux-mêmes, ils se lancent à la recherche d’emplois avec logement fourni. Pendant leurs recherches, Ren et sa sœur viennent en aide à une fille. Cette dernière les invite alors chez elle pour les remercier. Il s’avère alors qu’elle fait partie de la famille Kuonji, une famille riche possédant une vaste propriété et plusieurs servants et servantes… Voyant dans cette situation l’opportunité de trouver un emploi et un logis pour elle et son frère, la sœur de Ren persuade la famille Kuonji de les engager pour s’occuper du manoir. Mais la vie au manoir ne va pas être de tout repos…
-Klick- |
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| Critiques | J'hésite sévèrement entre sévérité et charité, au titre que They Are My Noble Masters ne me laisse qu'un vague sourire eu égard à l'humour et au style ecchi devenus des leitmotivs dans nombre de séries.
Qu'est-ce qui me dérange le plus dans cette série ? Ni l'animation ni la musique ne sont remarquables, mais pas mauvaises pour autant, c'est ailleurs qu'il faut chercher ma déception. Tout d'abord, c'est, une fois de plus, le syndrome harem qui perce. Entre un personnage masculin central aussi niais qu'aveugle et des relations parfois « bizarres » entre les différentes sœurs de la demeure, on revoit les sempiternels clichés des séries harem se répéter : la grande sœur talentueuse et faussement autoritaire, la maladroite, celle avec un passé sombre et qui sourit tant qu'elle peut, ou encore la sœur du « héros » qui le couve au point de rendre leur relation presque douteuse, tout y est !
Pourtant, je ne tire pas totalement sur la série, il y a des moments drôles, d'autres un rien plus sombres, mais cela reste par trop des clichés éculés qui font qu'on n'accroche jamais totalement. Enfin, certaines scènes d'action sont ineptes, inutiles et surtout hors de propos dans la trame.
Finalement, je suis encore assis entre la condescendance pour une série qui s'acquitte sans éclat de son rôle de divertissement harem-ecchi et la sévérité pour la plupart des tares dont j'ai parlé précédemment.
Honnêtement, regardez trois épisodes, et vous aurez une bonne idée du reste de la série. Soit vous restez jusqu'au bout (comme moi, pour le divertissement sans prise de tête), soit vous vous tournerez vers autre chose. À vous de choisir !
-magellan- |
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| Note de la rédaction | |
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Kimi ga aruji de shitsuji ga ore de © 2008 MinatoSoft / KimiAru Production Committee
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