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Titres alternatifs | Daft Punk & Leiji Matsumoto's Interstella 5555
インターステラ5555
Interstella5555 - The 5tory of The 5ecret 5tar 5ystem
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Synopsis | Interstella 5555 est un film musical qui raconte l'histoire d'un groupe de musique extraterrestre kidnappé par un mystérieux personnage. Sur Terre, ils subissent un lavage de cerveau et un formatage complet, puis deviennent des stars planétaires sous le nom de The Crescendolls. Heureusement, un de leurs amis et fans apprend leur situation et décide d'aller les secourir. |
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Critiques | ------------- Critique 1 -------------
Interstella 5555, le choc des cultures ! Un croisement entre la musique electro des petits Français maintenant connus mondialement du groupe Daft Punk et l’animation de Matsumoto, créateur du chef-d’œuvre Albator. D’ailleurs, un petit clin d’œil à ce croisement des cultures est présent dans le film, puisque sur un écran de télévision est diffusé un match de football entre la France et le Japon ! Au commencement du projet, seuls les quatre clips des singles devaient être créés par Matsumoto, mais ce fut finalement les quinze pistes de l’album Discovery qui s’offrirent un film de plus d’une heure ! La fusion entre la musique et l’animation est parfaite, on pourrait croire qu’un film sans paroles serait ennuyeux, mais il n’en n'est rien. Néanmoins, une petite critique (qui n’en n’est pas vraiment une !) pourrait être faite. En effet, les quatre singles, One More Time, Aerodynamic, Digital Love et Harder, Better, Faster, Stronger correspondent aux vingt premières minutes du film, le plus grand plaisir auditif reste donc concentré au début du film !
-RorolePro-
------------- Critique 2 -------------
Au départ, il y a les Daft Punk. Ces derniers ont élaboré un album et une histoire autour des chansons de celui-ci. L'album s'appelle Discovery (sorti en 2001). Bref, c'est une première dans le genre (il me semble), et je dois dire que c'est une réussite. Sans pousser le cocorico de rigueur, je dirai que ce film est à la hauteur du talent musical des artistes français. Bien sûr, la musique n'est qu'une part du film, il y a encore la très importante animation dirigée par Leiji Matsumoto, le père d'Albator, qui est tout simplement magnifique. On ne s'ennuie pas une seconde, malgré l'absence de paroles. Les différentes musiques sont entraînantes, rythmées, sans pour autant dénaturer l'histoire et dévaloriser les séquences. Si on apprécie l'électro, il faut le voir. Mais si on apprécie aussi l'animation japonaise, et particulièrement Matsumoto, il faut également le voir !
-GohanSSJ- |
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![[MCM]](/_img/editeur/225.jpg)
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Interstella 5555 © 2003 MATSUMOTO Leiji / Toshiba EMI, Tôei Animation
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