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Titre alternatif | |
Synopsis | Dans ce futur indéterminé, la Terre est aux mains d'une multinationale toute-puissante qui possède 90% de la planète alors que les laissés-pour-compte croupissent dans des taudis où règnent la délinquance et le crime. Un groupe qui se donne pour but de libérer le monde de ce joug écope de la désignation de « terroriste » : un de ses membres va se retrouver mêlé aux affaires de quelques voyous locaux qui le tireront d'un mauvais pas, embuscade tendue par les maîtres du monde qui se complaisent ainsi dans un de leurs énièmes jeux pervers... En même temps arrive dans la ville un mystérieux jeune homme, tout de noir vêtu, au visage triste et aux pouvoirs fabuleux, porté par un carrosse fantastique que tirent de puissants chevaux : il choisira d'aider ces gens après avoir pris le nom du quartier miteux où il a débarqué depuis un puit de ténèbres insondable qui a disparu dans la nuit. Il s'appelle Darkside.
-Guilhem- |
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Critiques | Je ne dirais pas que c'est un bon film, pourtant il n'est pas mauvais non plus : comme beaucoup de productions des années 90, Darkside Blues mêle les genres mais d'une manière plus heureuse que beaucoup d'autres productions du moment et le créateur de Vampire Hunter D n'en fait pas trop sur le plan de la violence gratuite ou des effets tapageurs.
Le point fort reste les qualités visuelles, designs et effets de lumières qui savent être efficaces, parfois même originaux et presque innovants. L'animation est correcte pour une production de cette envergure dont le côté « barré » ne permet pas de toucher un vaste public. Principal défaut : un scénario un peu confus et légèrement manichéen où les psychologies des personnages auraient mérité d'être plus développées.
Globalement, un animé qui se laisse voir si vous aimez les histoires noires et un peu déjantées...
-Guilhem- |
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Note de la rédaction | Ce film fut projeté en France à l'occasion de l'Epita en 1995. |
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Darkside Blues © 1994 ASHIBE Yuuho, KIKUCHI Hideyuki / J.C. STAFF
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