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Les sorties de juillet 2014, partie 2 : humour et tenues légères
 
 



Les séries de l’été 2014, partie 2 : humour et tenues légères



Comme promis, chers amis lecteurs, rien de tel à présent qu’un cocktail de divertissements pour rafraîchir nos étouffantes journées caniculaires ! En entrée, une tournée pétillante de comédies givrées : amis intéressés, verre à la main, prenez place sur vos transats à l’ombre des parasols et laissez travailler vos zygomatiques ! C’est parti pour…



Les comédies !



Dès le 6 juillet.
Sabagebu! se déroule dans un lycée pour filles et plus précisément dans le club de jeux de survie de l’établissement. Cette série compte pour l’instant quatre volumes au Japon et fait échos à Stella Jogakuin Koutouka C3-bu, qui met également en scène un casting uniquement féminin jouant à la guéguerre. Mais rendons à César ce qui appartient à Sabagebu! car oui, c’est bien ce manga qui est sorti en premier dans l’archipel Nippon. C’est peut-être pour remettre les pendules à l’heure que la licence se dote elle aussi d’une adaptation en dessin animé et c’est Pierrot Plus qui se charge de la production. La filiale du Studio Pierrot que l’on connait surtout pour Beelzebub a choisi pour l’occasion le réalisateur Masahiko Ohta que l’on peut qualifier d’habitué de la comédie puisqu’il a travaillé sur Minami-ke et Mitsudomoe. La présence d’Ohta au générique peut nous inciter à croire que, malgré une conception des personnages proche du shôjo, la série est surtout l’occasion d’une bonne tranche de rigolade. D’autant plus que le scénario est dirigé par Takashi Aoshima, scénariste attitré d’Ohta et responsable dernièrement de l’écriture de Flag story. Tout porte donc à croire que nous sommes ici en présence d’une nouvelle comédie sans autre prétention que de nous divertir tranquillement avec de l’humour et des filles en jupette, reste à voir si le résultat est convainquant.
Bande-annonce.





Dès le 9 juillet.
Wataru Watanabe est l’auteur du manga En selle, Sakamichi ! qui compte à ce jour trente-deux volumes et parle bien évidement de cyclisme. Jouissant d’une bonne popularité, le manga est adapté en 2013 par TMS Entertainment avec trente-huit épisodes prévus et il semblerait qu’une deuxième saison serait déjà dans les cartons. On en termine ici avec Yowamushi Pedal car ce n’est pas cette série qui nous intéresse ici mais une autre création de Wataru Watanabe, Majimoji Rurumo. Sorti en 2007 et se terminant au neuvième volume, ce manga peint la relation entre Kôta, un adolescent pervers, et Rurumo, une sorcière privée de ses pouvoirs. Si cette dernière veut récupérer sa magie, elle doit exaucer un certain nombre de vœux formulés par le jeune homme. Mais à chaque fois qu’elle y parvient, la vie de l’adolescent raccourcit. Se liant progressivement d’amitié avec le garçon, Rurumo a de plus en plus de scrupules à le sacrifier ainsi pour son intérêt personnel. Elle va donc devoir choisir entre sa vie et celle de son ami. C’est J.C. Staff qui se charge en juillet 2014 de l’adaptation de cette comédie et le studio se retrouve ainsi dans un genre qu’il maîtrise relativement bien puisqu’il a produit des titres comme Hatsukoi Limited et Kill Me Baby. La réalisation est assurée par un débutant, Chikara Sakurai, qui occupe pour la première fois ce poste. La responsable de l’écriture, Mariko Kunisawa, a quant à elle déjà œuvré sur Hatsukoi Limited et remplit donc cette fonction pour la deuxième fois de sa carrière.




Le studio Seven est assez connu pour ses productions de hentai mais aussi pour des comédies de très court format en collaboration avec le studio Dream Creation. Parmi ses petites séries, on trouve Strange+, diffusée de janvier à mars au Japon. Cette adaptation de manga se compose de douze épisodes de cinq minutes et mise sur un humour délirant et des allusions sexuelles en cascades. Il s’agit également d’une parodie d’investigations remplie de personnages caricaturaux et de résolutions d’enquêtes sans queue ni tête, bref un délire complètement assumé. En juillet, les deux studios en charge de la première saison signe une suite intitulée très justement Strange+ 2. Comme pour le premier opus, c’est Takashi Nishikawa qui se charge de la réalisation et du scénario. Lui qui est plus habitué à la mise en scène d’OAV hentai est servi par une conception des personnages de Hiroyuki Furukawa avec qui il a déjà travaillé sur Strange+, premier du nom. Pour finir, cette nouvelle production Dream Creation devrait être à l’image des précédentes : pas vraiment inoubliable mais distrayante et rapide à regarder.




Dès le 7 juillet.
Dans l’animation japonaise, les travestis sont monnaie courante et présentent plusieurs formes. Qu’ils soient forts et mal rasés comme Hana dans Tokyo Godfathers ou totalement androgynes comme Kenjirou dans Genshiken Nidaime, qu’ils se travestissent par choix ou contraints, ils font partie intégrante de la culture otaku. Prévue pour juillet, la série Himegoto met en scène un travestissement forcé de type androgyne. Dans cette production d’Asahi Production, on nous décrit les mésaventures de Hime Arikawa, un adolescent fortement endetté. En échange du remboursement de sa dette par les filles du conseil des élèves, le jeune homme doit se déguiser en fille pendant le reste de ses années de lycée. Cette comédie basée sur le quiproquo et la confusion des genres est réalisée par un habitué des productions hentai en la personne de Takeyuki Yanase. Hasard ou non, Masaaki Sakurai, en charge ici de la conception des personnages, vient lui aussi de l’animation à caractère pornographique. On est donc en droit d’imaginer que la série présente une ambiance voluptueuse ainsi que de nombreuses allusions grivoises.



Dès le 6 juillet.
Urayasu Tekkin Kazoku alias Super Radical Gag Family est un manga de Kenji Hamaoka débuté en 1993. Avec un style de dessin inhabituel et des personnages au physique disgracieux, cette série raconte le quotidien d’une famille japonaise complètement déjantée. Cinq ans plus tard, le studio Deen produit une première version animée de trente-trois de épisodes de six minutes. En 2002, Hamaoka commence une suite en manga intitulée Ganso! Urayasu Tekkin Kazoku, elle-même complétée par Maido! Urayasu Tekkin Kazoku, débutée en 2010. Cette dernière version reçoit en 2014 les honneurs d’une adaptation en dessin animé. Cette série est elle aussi produite par Deen et bénéficie de la patte d’Akitarô Daichi. Ce réalisateur expérimenté a exercé ses talents sur plusieurs formats courts comme Poyopoyo kansatsu nikki et DD Hokuto no Ken mais aussi sur des titres bien connus tels que Fruits Basket. En fin de compte, l’animé s’adresse certainement plus à ceux qui n’ont pas peur des graphismes audacieux et à ceux qui aiment les personnages odieux mais attachants. En résumé, si vous avez aimé Kié, la petite peste et Hanada Shônen-shi, Maido! Urayasu Tekkin Kazoku est alors fait pour vous !


Cerise sur le gâteau, laissons entrer en scène un casting très majoritairement féminin, laissons entrer…


Les harems !



Dès le 9 juillet.
Momotarô est un héros du folklore japonais qui combat des démons dans un voyage initiatique riche en rencontres. Momo Kyun Sword est un roman Web sorti en 2012 qui adapte librement les aventures de Momotarô. Un projet d’adaptation en dessin animé voit le jour en 2014. Il s’agit d’une production Project No 9 (Rô Kyû Bu!, ImoCho) et Tri-Slash, un petit nouveau dans le cercle des studios d’animation. Cette réécriture de l’un des mythes les plus populaires dans l’archipel du Soleil levant sera riche en bikinis et en fortes poitrines. Vous avez bien lu, dans Momo Kyun Sword, le personnage principal s’appelle Momo et c’est une jeune fille aux formes plus que généreuses. Dans un Japon peuplé d’esprits et de démons, elle croise pourtant sur son chemin un bon nombre de femmes légèrement vêtues. Vous l’aurez compris, l’aspect folklorique ne constitue pas ici le principal argument publicitaire et la dimension érotique devrait être au centre du projet. Il fallait donc un réalisateur de circonstance et c’est Shinsuke Yanagi (Rô Kyû Bu! SS) qui a été choisi pour remplir ce rôle avec une composition scénaristique signée Tsuyoshi Tamai (Ladies versus Butlers!). Du coup, si vous êtes fan de folklore japonais, il y a de grandes chances que cet animé ne soit pas pour vous, en revanche, si vous aimez le fan service et la conception des personnages qui fait la part belle aux poitrines proéminentes et aux hanches échancrées, vous pouvez déjà inscrire ce titre sur votre liste d’animés à voir absolument.
Bande-annonce.




Dès le 9 juillet.
Sorti en 2012, Fate/Kaleid Liner Prisma Illya est un manga qui se propose de déplacer les héros de Fate/Stay Night dans un univers rempli de magical girls. Au cours de l’été 2013, cette réécriture des aventures du jeune Shirô se voit adaptée à la télévision avec un animé de dix épisodes produit par Silver Link. En juillet 2014, la série gagne le droit d’avoir une suite. Cette nouvelle saison se dote d’un personnage inédit, la pin-up à la peau mate : Chloe von Einzbern. Les brefs extraits visibles dans la bande-annonce officielle laissent deviner un visuel stylisé et une animation ambitieuse, mais c’est finalement habituel venant de Shin Ônuma. Le réalisateur de Baka to Test to Shôkanjû et de Watamote est pour l’occasion épaulé par un débutant, Masato Jinbô. Le reste de l’équipe de production est quasiment inchangé. On retrouve donc Kenji Inoue à la mise en place de l’histoire, Nozomi Ushijima à la conception des personnages et Tatsuya Katô à la composition de la musique. Tout cela nous amène à penser que cette deuxième saison sera à l’image de la précédente et devrait satisfaire les fans de Fate/Kaleid Liner Prisma Illya première du nom.
Bande-annonce.




Dès le 6 juillet.
Jinsei est une série tirée d’un roman d’Ôgyo Kawagishi et produite par Feel (Minami-ke Tadaima). Le protagoniste, Yûki, est un lycéen qui décide de rejoindre le journal de son école. Très vite, il est chargé de tenir la rubrique des conseils pratiques et est ainsi amené à rendre service à de nombreux élèves en difficulté. Dans l’accomplissement de cette mission, il va être aidé par trois charmantes camarades de club, possédant chacune un talent particulier. Cette petite comédie scolaire bénéficie de l’expérience de Keiichirô Kawaguchi, le réalisateur de Minami-ke Tadaima et de Sket Dance. La trame scénaristique est signée par Naruhisa Arakawa, récemment en charge de l’écriture de Maoyu. Enfin, la conception des personnages est assurée par Tomoyuki Shitaya, qui occupait déjà cette place sur Bakuman. Pour faire simple, Jinsei ne devrait pas révolutionner l’animation ni rester dans les annales mais cet animé sans trop d’ambition a toutes les cartes en main pour nous offrir un joyeux divertissement.




Dès le 14 juillet.
Tiré d’une série de romans qui compte treize tomes à ce jour, le dessin animé Seirei Tsukai no Blade Dance nous livre une intrigue se déroulant dans une école pour filles. Cette école, le lycée Areishia, forme ses élèves à l’art difficile de la maîtrise des esprits. Il s’agit d’apprendre à passer des contrats avec certains esprits dans le but de contrôler leurs pouvoirs. Normalement, seules les filles peuvent devenir des contractantes mais cela change le jour où le jeune Kamito y parvient. Il passe un pacte avec la cible convoitée par l’une des meilleures élèves de l’école. Au vu du casting des voix et des quelques visuels disponibles, on peut penser que la série comporte tous les éléments d’une comédie de type harem. L’équipe de production en présence conforte cette idée puisque l’on retrouve un grand nombre de personnes ayant collaboré sur le très récent Kenzen Robo Daimidaler. On a ainsi le studio TNK à la réalisation, le réalisateur Tetsuya Yanagisawa ainsi que Takao Yoshioka à la direction de l’écriture. Tout porte à croire que derrière une conception des personnages très propre et moe, cette série pourrait se révéler au final être un bon gros délire explosif, à voir.
Bande-annonce.





Dès le 11 juillet.
Ces dernières années, on a vu pas mal de séries qualifiées de harem et parmi elles, certaines se servaient du prétexte de la collocation pour mettre en scène un garçon lambda au milieu d’une bonne dizaine de filles au physique avantageux. La plupart du temps, les scénaristes de ce style de production essaient de mettre en place une situation capable de justifier la présence massive de membres éminents de la gent féminine. Dans le cas de Rokujouma no Shinryakusha!?, les auteurs ont manifestement choisi de ne pas se trouver d’excuses et d’assumer pleinement le manque de crédibilité de la situation initiale. Ainsi Kôtarô, le héros anecdotique de service, voit débarquer dans son petit appartement de lycéen une extraterrestre à la chevelure blonde, un fantôme aux yeux de biche, une magical girl et une habitante des sous-sols à la poitrine généreuse. C’est le studio Silver Link qui s’occupe de la production de cette série décomplexée et qui dit Silver Link dit bien souvent Shin Ônuma à la mise en scène. Ce réalisateur, considéré par certains comme un apprenti raté d’Akiyuki Shinbô et par d’autres comme un élève ayant largement dépassé son maître, a déjà par le passé réalisé des succès comme Baka to Test to shôkanjû ni! ou plus récemment Nôrin. Quoi qu’il en soit, sa présence au générique nous assure un délire permanent et une mise en scène colorée, avis aux amateurs !
Bande-annonce.



On prolonge le plaisir rétinien avec les filles mais pas n’importe lesquelles : des jeunes filles pleines de strass et de paillettes…


Les idoles et autres magical girls.



Dès le 5 juillet, sur Nico Nico Douga.
En 2013, les deux séries qui ont fait le buzz, L'Attaque des titans et Kill la Kill, misaient beaucoup sur une violence exacerbée et sur une bonne quantité d’hémoglobine étalée sur le sol. En 2014, la série qui pourrait créer l’événement est plutôt remplie de paillettes et de jeunes filles en jupette. Et pour cause, rien que le titre Sailor Moon Crystal a de quoi susciter la curiosité des fans de l’animation des années 90. En plus de l’aura particulière que possède la licence auprès de ceux qui regardaient le Club Dorothée dans leur jeunesse, la série bénéficie d’une communication intelligente qui lui donne un statut de favori dans la course à l’Audimat. Et la principale arme du marketing mis en place par Toei Animation est une sortie mondiale en simultané sur le site Nico Nico Douga. De plus, la série se présente comme le cadeau fait aux fans pour le vingtième anniversaire de Sailor Moon. Finalement, l’unique fausse note de cette série déjà très attendue est son staff presque anecdotique puisque seul le compositeur Yasuharu Takanashi (Naruto Shippuden, Fairy Tail, Beelzebub) sort un peu du lot. Mais ce dernier point ne suffira certainement pas à empêcher Sailor Moon Crystal d’avancer sur la route du succès que ses producteurs ont habilement tracée pour elle.
Bande-annonce.




Dès le 4 juillet.
Futsû no Joshikôsei ga Locodol Yattemita est un yonkoma écrit et dessiné par Kôtarô Kosugi. Pour ceux qui ne le savent pas, les yonkoma sont des mangas en quatre cases présentant le plus souvent un caractère humoristique. Ces dernières années, de nombreux animés à succès sont tirés de ce type de mangas. On peut notamment rappeler Lucky Star et A-Channel. En juillet, le studio Feel (Minami-ke Tadaima, Kiss × Sis) sort une adapatation animée de Futsû no Joshikôsei ga Locodol Yattemita. L’histoire de cette série se concentre sur deux lycéennes, Yukari et Nanako. Elles choisissent de devenir des idol afin de promouvoir leur ville auprès de ses habitants. Cette petite production qui sent bon le moe est réalisée par Munenori Nawa ayant déjà œuvré sur de nombreuses séries comme R-15 et Kiss × Sis. À ses côtés, on note la scénariste Yuniko Ayana (Kin-iro Mosaic) et le compositeur Tomoki Hasegawa (Nana, Sayonara, Zetsubô sensei). Le tout devrait aboutir à une série pleine de jolies filles aux yeux énormes et colorés, certainement agrémentée d’une petite touche de fan-service.
Bande-annonce.





Dès le 15 juillet.
Pretty Rhythm est une licence multimédia créée par la firme de jouets Takara Tomy. Cette franchise exploite à fond le thème des idol et a été de nombreuses fois transposée en dessin animé. En 2014, une nouvelle série nommée Puri Para est produite par les studios Dongwoo Animation et Tatsunoko Production (Gatchaman Crowds, Wake Up, Girls!) et met en scène un nouveau groupe composé de trois jeunes filles aux cheveux colorés. L’histoire se concentre autour de Lala, qui participe à des auditions pour faire partie d’un groupe d’idol. C’est Makoto Moriwaki (Onegai My Melody, Tantei Opera Milky Holmes) qui a été choisie pour réaliser cet animé dont le scénario est signé Michihiro Tsuchiya (Major, Cross Game). En ce qui concerne le doublage, la production a choisi trois jeunes femmes encore inexpérimentées, Miyu Kubota, Himika Akaneya et Yû Serizawa. Ces trois demoiselles appartiennent au sextuor Iris, connu pour avoir déjà participé aux génériques de fin de plusieurs œuvres. Bilan provisoire de la série : des idol, du moe et un peu de musique. Bref, un parfait représentant de la licence Pretty Rhythm.



Voilà une oisive séance de relaxation qui s’achève. Mais si les maladresses, quiproquos et autres situations comiques vous ont à plusieurs reprises fait frôler l’urgence vésicale et si les courbes voluptueuses, voir lascives, enlacées dans de timides bouts de tissu vous ont provoqué maintes hémorragies nasales (à moins que cela ne soit dû aux coups de soleil !), promis, nous vous réserverons dans la prochaine et ultime partie une ambiance plus intimiste sur fond de romances, tranches de vie et autres séries contemplatives.


La suite de cet article dans la partie 3,
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Le 28-05-2014 à 10:41:02 par : Jules, Mouaadiib, Kaorisuzuchan, Sarafyn, Kenji Shinoda, Vb2n et JigoKu kokoro

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