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Les sorties de janvier 2015, partie 2 : Les suites
 
 



Les sorties du mois de janvier partie 2 : les suites



S'il y a bien une chose que pratiquement tous les formats s'accordent à faire, c'est des suites pour les œuvres à succès. Bien entendu, l'animation japonaise ne déroge pas à la règle. Malgré d'occasionnelles déceptions, on prend toujours plaisir à revoir les personnages de nos séries préférées, ce qui est d'autant plus vrai lorsque celle-ci se termine sur une fin ouverte ou avec des questions laissées sans réponses, ce qui est souvent le cas puisque les animés adaptent la plupart du temps des mangas encore en cours de parution. Réjouissez-vous donc car cette première vague de l'année nous propose des nombreuses suites de séries de qualité, dont certaines attendues depuis des années.




Dès le 11 janvier.
Très attendue lors des sorties de juillet, Aldnoah.Zero a offert à ses spectateurs un final tendu et laissé également plein de questions en suspens. Aussi, ceux-ci seront rassurés de savoir que c'est à partir de ce mois de janvier qu'ils auront enfin leurs réponses. Pour ceux qui n'auraient pas vu la première saison, Aldnoah.Zero est une série d'action science fiction avec des combats de mecha qui part sur les bases suivantes : la Terre et le Royaume de Vers de la planète Mars sont entrés en guerre par le passé. Suite à un terrible incident qui provoqua la destruction d'une partie de la Lune, un cessez-le-feu a été établi. Toutefois, ce dernier est assez fragile et les relations entre les deux nations sont très tendues, chacune se méfiant fortement de l'autre. La guerre couve donc toujours et c'est pour éviter son retour que la princesse Allusia Asseylum se rend sur Terre pour une mission diplomatique.
C'est toujours le studio A-1 Pictures (Silver Spoon, Blue Exorcist) qui est en charge de cette suite, secondé par Troyca, le studio du réalisateur de la série lui-même : Ei Aoki (Fate Zero). Ce que l'on peut déduire devant l'équipe technique, c'est que le travail sur cette série ressemble à une réunion d'amis ayant déjà travaillé ensemble puisque nous retrouvons Gen Urobuchi à la direction de l'écriture. Si ce nom ne vous parle pas, alors les projets liés à celui-ci le feront sûrement plus avec des productions comme Fate Zero, Psycho-Pass et Suisei no Gargantia. Pour finir, nous pouvons citer d'autres noms comme Kenji Teraoka chargé de la conception des mecha (Ghost in the Shell - Stand Alone Complex, Code Geass) et Hiroyuki Sawano, compositeur qui n'en n'est plus à son premier coup d'essai avec déjà derrière lui des séries telles que Blue Exorcist, L'attaque des Titans et Kill la Kill. Bref, du beau monde s'est mis à pied d’œuvre pour cette réalisation. Espérons que ce nouveau volet ne déçoive pas les fans de la première heure.





Dès le 9 janvier.
Encore une série très attendue qui débarque en ce début d'année. En effet, la dernière saison de Tokyo Ghoul ayant laissé les choses en suspens, les passionnés d'animation ont sûrement hâte de retrouver le personnage de Ken Kaneki et savoir ce qu'il va se passer. Pour ceux qui n'auraient pas vu cette première partie voici un petit résumé. À Tokyo comme dans le monde entier, les humains ont du apprendre à partager leur monde avec les goules. D'une apparence semblable aux humains, ces créatures n'ont d'autres choix pour vivre que de se nourrir de chair humaine. Malgré la présence d'unités spéciales de la police, les goules vivent toujours cachés au sein même de la société humaine. Ken Kaneki est un gentil lycéen passionné de littérature. Au cours d'un rendez-vous galant, ce dernier est victime d'une agression et se voit alors envoyer à l'hôpital dans un état extrêmement critique. Il se réveille quelques jours plus tard en relativement bon état, se demandant comment un tel miracle a pu se produire. La réponse vient avec bien trop d'horreur pour le jeune idéaliste bibliophile qui apprend qu'il a été sauvé en ayant été transformé en partie en goule. Terrifié, ce denier va devoir alors lutter tous les jours contre ces nouveaux instincts alimentaires et la révulsion qu'ils lui provoquent.
Après cette petite mise en bouche, nous pouvons à présent évoquer le fait que derrière cette série se trouve le Studio Pierrot, déjà responsable de la première saison. Un studio connu pour des adaptations de mangas très célèbres comme Bleach, Naruto ou GTO. Dans le fauteuil du réalisateur se rassoit Shuhei Morita, un homme au parcours original. Se faisant remarquer en 2004 avec Kakurenbo, Morita poursuit son bonhomme de chemin et multiplie les associations heureuses. Dans l'équipe de Freedom ( 2006-2008 ), il réalise, il y a quatre ans l'OAV Koi sento avant de s'associer en 2012 avec Katsuhiro Ôtomo dans son projet de type "omnibus" sur le moyen métrage Tsukumo. Un cheminement particulier donc pour cet homme, auteur reconnu, dont la capacité à imprimer sa marque lors de son passage est assez évidente. Il est donc très probable que Tokyo Ghoul en soit imprégné.





Dès le 10 janvier.
Jojo nous revient cet hiver pour finir un travail inachevé. Attendez-vous donc à retrouver de nombreux Stand (nom des pouvoirs dans la série) pour combattre notre groupe de héros, et qui sait si de nouveaux membres les rejoindront alors. Ceux qui suivent Jojo encore aujourd’hui ne le font probablement que pour une raison, celui de découvrir de nouveaux combats riches en stratégies et en retournements de situation. Bonne nouvelle, vous serez gâtés pour cette conclusion de la troisième génération de Jojo. Effectivement, bon nombre de Stand inattendus seront au rendez-vous, sans oublier Dio le vampire qui nous garde d'ores et déjà le meilleur pour la fin.
On retrouve Naokatsu Tsuda à la réalisation et Masahiko Komino au dessin des personnages. Jotaro est toujours doublé par Masahiko Komino, que l’on a retrouvé récemment dans la voix du charismatique Sindbad de Magi: The Labyrinth of Magic. Joseph quant à lui est joué par Unshô Ishizuka dont on n’oubliera jamais sa performance pour Jack Black dans Cowboy Bebop. Fuminori Komatsu prête, lui, sa voix à notre représentant français Jean-Pierre Polnareff; doubleur au petit curriculum vitae mais que l’on reverra sûrement plus souvent dans les années à venir. Bref, je ne vais pas vous faire la liste exhaustive de l'équipe technique de la série, mais soyez rassurés puisqu'on devrait retrouver la qualité qui nous était offerte dans la première saison.





Dès le 11 janvier.
Kuroko no Basuke fut un grand succès avec sa première saison. Avec cette série sur le basket-ball, simple et divertissante, la question était de savoir si la qualité pouvait continuer d'être au rendez-vous sur la longue durée et si l’intérêt porté à son égard survivrait. Le second volet sorti en octobre 2013 a une fois de plus conquis son public, et maintenant que l'animé a fait ses preuves d'endurance, c’est avec impatience que les fans attendent cette troisième saison. Dans les derniers épisodes, la lumière a été révélée sur l’identité du dernier prodige de la génération des miracles, mais tant de mystères restent encore à découvrir sur ce personnage…
Bien que tous les postes de l'équipe technique n’aient pas été confirmés, on sait d'ores et déjà que les seiyû resteront inchangés ainsi que le réalisateur Shunsuke Tada. Donc pas vraiment d’inquiétude à avoir, on devrait retrouver une qualité tout aussi bonne que lors des deux premières saisons en proposant des matchs toujours aussi intenses. Il ne reste plus qu’à reprendre le chemin du parquet au côté de Kuroko pour l’une des séries sportives les plus captivantes de ces dernières années.





Dès le 03 janvier.
La société japonaise Bushiroad est au départ spécialisée dans la production et la distribution de jeux de cartes à collectionner tels que Cardfight!! Vanguard. Elle participe également à l'industrie de l'animation en tant que producteur. Parmi les créations estampillées Bushiroad, on trouve la franchise multimédia Tantei Opera Milky Holmes qui a déjà été déclinée en jeux vidéo, en manga, en roman et bien évidement en animé. La première série est datée de 2010 et se déroule dans un contexte de guerre permanente entre détectives et cambrioleurs, tous dotés de super-pouvoirs. Ainsi, les Milky Holmes sont un quatuor de lycéennes représentant l'élite du camp des détectives tandis que leur pire ennemie, Arsène, est une voleuse à la plastique voluptueuse. Alors qu'elles tentent de capturer la célèbre cambrioleuse, les quatre jeunes filles perdent leurs Toys, source de leurs super-pouvoirs. Dès lors, c'est la déchéance qui s'abat sur les Milky Holmes qui passent du statut de privilégiées à celui de parias.
Depuis ce premier volet, deux autres séries ont vu le jour et une quatrième saison intitulée Tantei Kageki Milky Holmes TD est prévue pour ce mois de janvier. Si ceci démontre un certain succès de la franchise au Japon, cet engouement est cependant loin d'être suivi en France étant donné qu'aucune saison n'a été licenciée. Cela est peut-être dû à l’esthétique très loli de la série et aux noms aléatoires des héroïnes à l'image de l'ingénue Sherlock Sherringford. Pourtant derrière cette apparente fadeur, se cache un énorme délire qui joue sur l'absurde et sur le détournement des codes. Sans être révolutionnaires ni géniales, les successives adaptations Tantei Opera Milky Holmes ont su jusque là proposer un humour bien déjanté et sans complexe. Il ne reste qu'à espérer que le dernier opus s'inscrive dans la même veine.





Dès le 10 janvier.
Cinq adolescents s'entraînent chaque jour dans le célèbre théâtre Hollywood Tokyo, connu pour avoir révélé quinze ans plus tôt le groupe d'idols Shounen Hollywood. Ils sont alors recrutés par le directeur qui a bien l'intention de faire renaître de ses cendres la gloire passée du boysband.
Inspiré des jeunes idoles françaises, le terme idols est apparu dans les années 60 au Japon néanmoins ce n'est que dans les années 80 qu'il explose. À contrario des fabrications d'idoles européennes ou américaines, le phénomène est là-bas presque définitivement ancré dans la culture. Des adolescent(e)s sont alors recruté(e)s pour leur beauté, on leur apprend à chanter et à danser avant d'être envoyé(e)s sur le devant de la scène. Ils n'ont cependant pas tous la chance d'atteindre la gloire et beaucoup demeurent ou retombent dans l'oubli. Nos cinq héros parviendront-ils à sortir du lot et à gravir le sommet avant leur majorité ? Après... il sera trop tard pour briller de mille feux !
Mis sous les projecteurs par le studio Zexcs, Shounen Hollywood : Holly Stage for 50 est né d'une idée originale d'Iyoku Hashiguchi. Il s'agit d'ailleurs de la seconde saison de la série. Celle-ci est réalisée par Toshimasa Kuroyanagi (say « I love you ») et scénarisée par Jyoku Hashiguchi, déjà présent sur le premier opus au même poste. On retrouve Yuka Hirama (saga Gurren Lagann) dans le rôle du directeur artistique jouant au côté du responsable d'animation et le concepteur de personnages Kei Tsuchiya (Aruvu Rezuru OAV). Enfin la musique sera à la charge de Tetsuji Hayashi (Yume Senshi Wingman (thème)) !
Bande-annonce.





Dès le 8 janvier.
Lorsque Karl Landsteiner a découvert la classification des groupes sanguins (en 1900-1901), il était loin de se douter des croyances que cela allait entraîner. En effet, depuis une étude publiée en 1927, l'idée selon laquelle le groupe sanguin influencerait la personnalité a commencé à émerger au Japon pour s'ancrer profondément suite à la publication d'un livre de Nomi Masahiko. Aujourd'hui, l'importance accordée aux groupes sanguins pourrait être comparée à celle de l'horoscope zodiacal en Occident. Toutefois au Pays du Soleil Levant, celle-ci peut entraîner des discriminations lors de recrutement pour un travail ou encore provoquer le harcèlement scolaire (buru-hara). Au niveau culturel, cette croyance est devenue une caractéristique courante dans le monde vidéo-ludique ainsi que dans l'animation. Ainsi on retrouve l'animé Ketsuekigata-kun inspiré de ces croyances et dont l'histoire nous plonge dans le quotidien de quatre petits individus bleus, personnification des quatre groupes sanguins du système ABO. Né du crayon du coréen Real Crazy Man, Ketsuekigata-kun est à l'origine une collection de 4-panel (ou yonkama : manga en quatre cases à tendance le plus souvent humoristique). Rassemblés par la maison d'édition Earth Star Entertainment la collection devient ainsi un livre relié. Enfin, le studio Assez Finaud Fabric lance le projet d'en faire une animation qui sera réalisée par Yoshihisa Oyama (directeur de la photographie dans Say « I love you ») et scénarisée par Kenichi Yamashita (Minna Atsumare ! Falcom Gakuen) : Ketsukigata-kun prend vie. Du côté des seiyû, on trouve un casting plutôt sympathique avec notamment Jun Fukuyama (Togashi Yuuta dans Chuunibyou demo koi ga shitai !) dans la peau de A-kun, Yûichi Nakamura (Okazaki Tomoya dans Clannad) en tant que B-kun, Akira Ishida (Break Xerxes dans Pandora Hearts dans les baskets d'O-kun et enfin Tetsuya Kakihara (Dragneel Natsu dans Fairy Tail) dans le rôle de AB-kun ! Désormais rendu à la seconde saison et toujours avec la même équipe, on ne peut que s'attendre à rire de nouveau en compagnie de ces personnifications sanguines !
Episode 1 s1.





Dès le 31 décembre.
Si l'on devait réduire le succès de la saga Monogatari en trois noms elle se résumerait à ceci : Nisioisin, le studio SHAFT et le réalisateur Akiyuki Shinbô. Le premier est l'auteur des light novel (romans illustrés, typiques du marché japonais) dont est issue la totalité de la saga. Commencée en 2006 et illustrée par Vofan, cette série de dix-huit romans est toujours en cours de publication actuellement. Le deuxième et le troisième, SHAFT et Akiyuki Shinbô, sont difficilement dissociables tant le réalisateur au style très original se trouve derrière une bonne partie des succès du studio : Sayonara Zetsubou Sensei, Dance in the Vampire Bund, Denpa Onna to Seishun Otoko et bien évidemment toute la licence Monogatari. Plus récemment, Shinbô s'est essayé à un autre exercice avec Mekaku City Actors, créer un projet de série d'animation autour d'un album de musique. Mais alors qu'ont construit ensemble ces deux-là de si particulier ? La réponse est simple, un style, une mise en scène originale, un visuel reconnaissable au premier coup d’œil. Des plans très rapprochés, des ralentis inopinés, des décors urbains surprenants qui sont devenus le "style Shaft". Dans le cas de ce nouvel opus, Shinbô reste entouré des personnes avec lesquelles il collabore depuis le début des Monogatari. Nous pouvons citer Tomoyuki Itamura à la réalisation, Tô Fuyashi au script et Akio Watanabe à la conception des personnages (Que sa volonté soit faite, Blame).
Pour en revenir à Tsukimonogatari: Yotsugi Doll et son histoire, nous retournons auprès de Koyomi Araragi, ce lycéen et ancien vampire, dont l'essentiel de ses fréquentations, volontaires ou non, se résume à des entités spirituelles ou des victimes de ces mêmes entités. Cette fois-ci, l'intrigue, se situant juste avant Hanamonagatari, voit Koyomi devoir solliciter l'aide de Yozuru Kagenui et Yotsugi Ononoki afin de retrouver son reflet. Sans nul doute, les amateurs de la première heure seront au rendez-vous, pour les autres, une occasion de découvrir et de se faire son propre avis sur la saga Monogatari.



Les suites qui se sont fait attendre




Dès le 6 janvier.
La deuxième saison de Kamisama Hajimemashita démarrera en janvier. Si comme moi vous êtes tombés sous le charme de la naïve Nanami, vous serez sûrement ravis de cette annonce. Pour ceux ayant raté la première saison, voici un petit résumé. Nous découvrons Nanami qui vient tout juste de perdre sa maison à cause des dettes de son père. Perdue et sans logement, un inconnu qu’elle vient de rencontrer discute brièvement avec elle. Celui-ci, touché par son histoire, lui offre sa demeure en lui laissant un baiser sur son front. Ce qu’elle ne savait pas encore à ce moment là c’est que ce baiser lui a transmis les pouvoirs de cet inconnu, faisant d’elle la divinité de la Terre. Elle se rend également très vite compte que cette maison est en fait un temple dont elle est désormais responsable. La série se concentre notamment autour de la relation entre Nanami et Tomoe (un familier sous les ordres de la divinité de la Terre) offrant de nombreuses situations humoristiques.
Derrière ce nouveau volet, on retrouve la même équipe : à la réalisation nous avons Akitarô Daichi (Bokura Ga Ita, Fruits Basket, L’autre Monde) ainsi qu'une distribution artistique restée identique avec Shinnosuke Tachibana (Mekakucity Actors, Sekirei, Tokyo Ghoul), Suzuko Mimori (Btooom!, Freezing Vibration) et Nobuhiko Okamoto (Ao No Exorcist, Code: Breaker, Kamisama Dolls).
Voici une bande annonce pour patienter jusqu'au début de la diffusion de ce très sympathique shôjo qui plaira sûrement aux amateurs du genre.





Dès le 11 janvier.
Dans le monde de Fronhaldo, le royaume Biscotti essuie une succession d'échecs lors de ses affrontements contre le royaume Galette. L'Inu-hime (comprenez princesse-chien) Millhiore F. Biscotti souhaite redonner le sourire à ses habitants en faisant appel à un héros capable de faire cesser ces défaites. C'est ainsi qu'Izumi Shinku, un collégien passionné d'athlétisme, se retrouve expédié dans ce pays en plein conflit. Pensant d'abord à un rêve, il accepte tout naturellement la requête de l'Inu-hime. C'est alors qu'accompagné de ses nouveaux amis, il met tout en jeu pour battre leur puissant adversaire, Leonmitchelli Galette des Rois, la Neko-hime (princesse-chat) de Galette. Sans se douter qu'il s'agit là de la réalité, Izumi se retrouve dès lors sans moyen de retour.
Du côté de la production, on retrouve le studio Seven Arcs, connu pour Asura Cryin et White Album. Créé par Masaki Tsuzuki en 2011, Dog Days'' est le troisième volet de la série. Celui-ci est réalisé par Junji Mishimura (True tears, Ranma ½), qui s'est également occupé de la seconde saison. On retrouve Osamu Sakata, fidèle à son poste de concepteur des personnages, et Scott Macdonald dans ses premiers pas en tant que directeur artistique. La musique, quant à elle, est composée par Yui Isshiki, qui a déjà travaillé sur les deux premiers opus de Dog days, ainsi que Susumu Akizuki.





Dès le 10 janvier.
Certains d’entre vous se rappellent peut être de Durarara!!, une œuvre de Ryôgo Narita (auteur de Baccano!) qui nous offrait une nouvelle fois une panoplie de personnages très variés. La première saison sortie en janvier 2010 en aura conquis plus d’un avec ce mélange d’action, de suspense et de constants retournements de situation, le tout servi par une mise en scène parfaitement maîtrisée et un scénario prenant, bien qu’à première vue il puisse sembler décousu mais qui prend sens durant notre avancée dans la série. C’est donc avec joie que l'on accueille en ce début d'année ces réponses aux questions laissées par le premier volet. Un second visionnage de celui-ci est d’ailleurs grandement recommandé afin se remémorer tous les détails qui fourmillent dans cet animé. Autre bonne nouvelle : le manga s’étant terminé il y a un an, on devrait avoir le mot de la fin dans cette suite, et on ne peut qu’espérer que celle-ci soit à la hauteur de nos attentes.
Vous vous demandez sûrement qui a bien pu prendre la relève pour réaliser cette œuvre à part ? Personne puisque c’est Takahiro Ômori, responsable de la première saison, qui s’occupera de cette ultime saison, et à qui l'on doit aussi l’excellent Baccano! et de bien nombreuses autres séries comme Samurai Flamenco, Kuragehime et Natsume Yuujinchou. Concernant le doublage, je ne donnerai que quelques noms vu la quantité de personnages que propose l'animé, mais dans l’ensemble nous retrouvons la même distribution avec entre autre Daisuke Ono (Air Tv, Kuroko No Basket, Magi), Mamoru Miyano (Chihayafuru, Death Note, Free!, Steins;gate) et Jun Fukuyama (Ao No Exorcist, Chuunibyou demo Koi ga Shitai!, Code Geass).
Rendez-vous donc le 10 janvier pour cette suite tant attendue, et pour ceux d'entre vous qui n’auraient pas encore vu Durarara!!, il n’est pas trop tard pour vous lancer dans cette aventure, d'autant plus que vous n'aurez pas à subir les cinq années d’attente pour avoir le mot de la fin !





Dès le 9 janvier.
Après Evangelion, on a vu naître dans l’animation japonaise des séries aux idées plus ou moins similaires, mais offrant chacune une patte unique, ce qui a permis à ces œuvres de se démarquer et être bien plus que des copies. Soukyû no Fafner fait partie de cette vague : l’intrigue se situe sur une petite île paisible, mais très vite les problèmes commencent à apparaître lorsque des créatures bioniques attaquent l’île et, pour les combattre, des enfants sont amenés à contrôler des armures mobiles. On est dès lors amené à découvrir petit à petit tous les mystères dont regorgent ce territoire perdu au milieu de l'océan ainsi que ses secrets cachés aux enfants.
À ceux intéressés par cette aventure, une chronologie pourrait s’avérer utile puisque deux films ont précédé la sortie d'Exodus. C’est avec la série Soukyû no Fafner Dead Aggressor que tout a commencé, s’en est suivi une préquelle sortie l’année suivante, Soukyû No Fafner Right Of Left. Après une longue attente de cinq ans, c’est en 2010 que nous est enfin projetée la suite de la série, Soukyû no Fafner: Dead Aggressor - Heaven and Earth. Et c'est donc en 2015 que débarque Exodus, et ses vingt-six épisodes annoncés.
On retrouve Nobuyoshi Habara à la réalisation, et lorsque l’on sait qu’il s’est occupé entre temps de Break Blade (films et série), on garde beaucoup d’espoir sur ce que pourrait offrir cette suite. Reste à voir donc si ce nouveau volet pourra reconquérir ses fans et trouver un nouveau public.



Les films, OAVs et spin-off




Dès le 31 janvier.
L’univers futuriste de la série Psycho-Pass, sortie en 2012, aura plu à un grand nombre d'entre nous, proposant un monde qui n’est pas sans rappeler ceux que nous offrent les œuvres de Philip K. Dick comme Minority Report. Psycho-Pass est là pour nous questionner entre autre sur le crime et la violence. Sa suite sortie l’année dernière renouvela ces interrogations en se penchant plus explicitement sur les failles du système Sybil, système en charge d'identifier au sein de la population ceux qui représentent une menace en scannant leur taux de hue (émotions). Dépassez le niveau 100 et vous êtes une menace avec cependant une chance d’être sauvé, mais dépassez les 300 et vous serez "neutralisé" par le premier policier qui vous aura dans sa ligne de mire.
Ce nouveau film fera donc suite à la seconde saison. On y retrouve le système Sibyl exporté à travers le monde. Mais après le succès des premiers temps, ce dernier subit une attaque terroriste sur lequel notre héroïne Akane sera chargée d’enquêter.
L'équipe en charge des volets précédents est de nouveau réunie à cette occasion : la qualité devrait être donc au rendez-vous, avec un espoir tout de même que l'on retrouve le rendu visuel caractéristique des longs métrages. À noter également le grand retour de Kôgami qui devrait refaire surface après une absence dans la saison 2. Si les fans seront certainement impatients à l'annonce de ce film, il y a malheureusement peu de chance qu'il soit projeté sur grand écran en France. Il faudra sûrement attendre une sortie DVD avant de pouvoir le visionner : il ne nous reste plus qu’à patienter gentiment.





Dès le 31 janvier.
2039 : la bataille fait rage depuis qu'une mystérieuse armada de navires appelée "la flotte du brouillard" a envahit les océans. Les armes à feu et les forces navales maritimes ne sont d'aucune utilité. C'est un massacre et une défaite totale du côté de l'humanité. Forcés de se replier dans les terres, les Hommes, cernés de toutes parts, se retrouvent dès lors sans moyens de communication avec les autres pays. La mer, si grande, est devenue un territoire hostile, hors de portée pour tout individu. Ce n'est que sept ans plus tard, que Gunzou Chihaya, élève brillant, se voit révéler la capture d'un de leurs vaisseaux : le I-401. Il fait alors la connaissance d'Iona, une intelligence artificielle qui a pour ordre de lui obéir. Et c'est lors d'une énième attaque ennemie que Chihaya prend enfin la mer à bord du sous-marin I-401 et part affronter "la flotte du brouillard".
Gekijouban Aoki Hagane no Arpeggio est une compilation des douze épisodes de Arpeggio of Blue Steel -Ars Nova-, elle-même inspirée du manga éponyme, complétée par des scènes inédites. C'est sur une idée originale d'Ark Performance que le studio Sanzigen a rassemblé une fine équipe pour se lancer dans ce projet. En effet, on y retrouve Seiji Kishi (Angel beats, Assassination Classroom) à la réalisation ainsi que Makoto Uezu (School days, Utawarerumono) à la plume. Pour ce qui est de la musique, Masato Kôda (Mahou Sensou) est aux commandes ! Enfin, le concepteur de personnages Kazuaki Morita (Persona 4, Fate/Prototype) répond également présent.





Dès le 7 janvier.
Qui n'a pas rêvé un jour qu'une personne voue sa vie à le protéger ? Honoka Takamiya n'est pas de ce genre. Lycéen ordinaire, il passe ses journées à être malmené par le fan-club de Ayaka Kagar, une des filles les plus appréciée, au motif qu'il est simplement assis à côté. Au cours d'une de ses journées affligeantes de banalités, Honoka se retrouve être l’objet d'une attaque incroyable de lapins mécaniques géants. Sauvé de justesse par une sorcière puissante, il vit là une révélation incroyable. Non seulement il possède en lui un pouvoir qu'il ignorait mais sa voisine de classe n'est autre que la sorcière qui l'a justement sauvé. Dès lors, son quotidien si ordinaire va devenir extrêmement mouvementé car Ayaka a voué sa vie à sa protection.
Tiré d'un manga de Ryû Mizunagi, doté d'un scénario banal avec une faculté à mélanger les codes, cette série promène derrière elle un studio aux références sympathiques : J.C.Staff. En service depuis la fin des années 80, il est dépositaire de séries aujourd'hui souvent citées par les passionnés et pourtant d'univers très différents (Shingetsutan Tsukihime, Nodame Cantabile et Shakugan no Shana). Côté réalisation, c'est Tsutomu Mizushima qui s'assoit dans le siège principal. Lui aussi possède un répertoire assez intéressant avec xxxHOLiC, Yondemasu yo, Azazel-san et Ôkiku Furikabutte. Quid de cette OAV alors ? Eh bien les probabilités de retrouver tout ce beau monde derrière sont très élevées puisque l'action de cette interlude se situe au beau milieu de la série originale.





Dès le 10 janvier.
Idolmaster est avant tout une licence née sous forme de visual novel mélangeant histoire et gestion d'idol. Sous ce terme facilement compréhensible se cache l’appellation de jeunes chanteuses et chanteurs japonais appartenant souvent à un groupe. Les idol sont monnaie courante au Japon et font partie de la culture musicale du pays, au point d'être quasiment une institution. Nous pouvons les comparer un peu aux girls band et boys band qui ont connu leurs heures de gloire chez nous.
Mais revenons au sujet principal. Le jeu a déjà été décliné une première fois en animation en 2007 avec Idol Master Xenoglossia, une série réalisée par Sunrise et à l'univers assez éloigné du monde de la musique. Premier passage d'une série d'adaptations sous diverses formes de la licence (jeux vidéo, mangas...), Idolmaster revient en 2011 avec Idolm@ster, réalisée cette fois-ci par A-1 Pictures. Ce studio, à qui l'on doit le récent Aldnoah.Zero, mise sur un retour aux sources musical et le succès est au rendez-vous. Pourquoi tout cela ? Pour en venir à la nouvelle déclinaison d'Idolmaster : Cinderella Girls. Conçue au départ comme jeu pour Smartphone, elle a droit de nouveau aux honneurs de l'animation avec une fois de plus A-1 Pictures aux commandes. Sans nul doute que les fans de séries et de jeux comme Love Live! School Idol Project répondront présent à cette plongée dans le monde musical des idol.





Dès le 11 janvier.
En 1977, Tatsunoko Production sortait Yatterman, série mélangeant l'univers mecha des années 70 à un humour burlesque, voir potache. Depuis la fin de l'année 2010, le studio qui a fêté ses cinquante ans en 2012, semble chercher à ressusciter les héros qui ont écrit ses heures de gloire. Ainsi, on a pu voir ressurgir de vieilles licences comme Casshern, Gatchaman et bien évidemment Yatterman. La franchise qui nous intéresse ici a eu le droit à une nouvelle version de soixante épisodes en 2008, suivie d'un long métrage en 2009.
On suit au sein de cet univers deux adolescents passant leur temps libre à jouer les justiciers masqués. À l'aide d'armures mécanisées, ils viennent à bout des Doronbo, une bande de malfaiteurs aussi bêtes que méchants. C'est d'ailleurs ce groupe de bandits qui constitue la sève de la série et sont ainsi très souvent mis en avant par les images officielles, au détriment du duo de protagonistes. C'est donc tout logiquement que Tatsunoko Production prépare pour ce début d'année 2015, une série intitulée Yoru no Yatterman et qui reprend pour protagonistes Boyacky et Tonzura, deux malfrats emblématiques de l’œuvre originale.
À cette occasion, la licence subit un lifting complet avec un dessin des personnages remis au goût du jour. C'est Tatsuya Yoshihara (Arve Rezzle, Namiuchigiwa no Muromi-san) qui signe la réalisation sur un scénario de Kazuyuki Fudeyasu (Hajime no Ippo: The Fighting! - Rising). Au final, le projet a de quoi susciter l’intérêt des fans d'animation que nous sommes : les premiers épisodes nous diront si le résultat est la hauteur des ambitions du projet.



Voilà l'essentiel de que cette vague a à vous offrir. Nous espérons que votre petite liste est déjà bien remplie et qu'il ne reste plus qu'à vous lancer. On se retrouve au printemps pour la prochaine vague.


Pour revenir à la partie 1,
c'est ici
.



Nous vous invitons à discuter de l’article sur .


Le 04-11-2014 à 22:05:40 par : Ash, Nayruu, JigoKu Kokoro, Jules, Kaorisuzuchan, Kenji Shinoda, Mouaadiib

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