C’est dans une Alger des années 1920 que le chat du rabbin Sfar mange le perroquet de sa fille et qu’il se retrouve doté de la parole. Le chat est fou amoureux de sa maîtresse et exige même de faire sa bar mitsva pour rester à ses côtés. Mais en voulant aider le rabbin, le chat commet le sacrilège d’invoquer l’Éternel et perd la parole. Il n’a alors plus pour ami qu’un peintre russe en quête d’une Jérusalem où vivraient des Juifs noirs. Le chat le suit alors dans sa folle aventure.
Le Chat du rabbin a remporté le Cristal d'Annecy au Festival international du film d'animation d'Annecy 2011 dans la catégorie des longs métrages en compétition.