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| Kiddy GiRL-AND | |
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| Titres alternatifs | |
| Synopsis | Vingt-cinq ans se sont écoulés depuis que les deux ES-members, Éclair et Lumière, sauvèrent in-extremis la galaxie d'une destruction certaine. Le GOTT n'est plus, mais une nouvelle organisation le remplace : le GTO (Galatic Trade Organization). Cette organisation défend les mêmes intérêts que le GOTT et en reprend même les fonctions des fameux "Encounter of Shadow-work members", à la différence que ceux-ci sont sélectionnés parmi des candidats volontaires. Ascoeur et Q-feuille font parties de ces volontaires et travaillent dans un café au sein du GTO en attendant leur titularisation.
-RuFo_ThE_oNe- |
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| Critiques | Les équipes des studios Gimik et Satelight dirigées par Keiji Gotoh prennent les rennes de cette séquelle de la première saison qui avait remporté un franc succès d'estime en son temps (2002) pour son duo d'héroïnes classieux à la fois différentes et fusionnelles. Son ambiance à l'humour léger qui sombre rapidement dans un scénario beaucoup plus complexe qu'on a bien voulu nous faire croire. Kiddy Girl-AND en reprend l'exacte formule. Et autant dire que cette saison, attendue au tournant par les fans, déçoit. Le nouveau duo manque cruellement de charisme, les gamineries de Ascoeur sont exaspérantes (autant que la voix de son seiyuu), les personnalités des protagonistes sont ultra vues et revues et malgré une présence au début rassurante d'un bon paquet des personnages de Kiddy Grade, Kiddy Girl-AND rate son coup en nous resservant la même sauce : humour potache au début de la série pour glisser vers un scénario plus grave avant le climax final. Alors techniquement c'est sûr, on a affaire à une animation propre sur elle, colorée mais lorsqu'on s'attarde sur les détails, ça pique... Une scène complètement affligeante dès le premier épisode met en scène l'attaque d'un groupe terroriste pour tuer la nouvelle directrice du GTO : tirant des milliers de balles à travers toute la salle sans inquiéter les personnages qui restent sagement debout dans la trajectoire des tirs. Les balles ravagent les murs et le mobilier sans toucher la moindre personne... Cette analyse peut être certainement appelée du chipotage mais en attendant, au vu de l'offre conséquente de séries sur le marché nippon, il me paraît légitime d'attendre un minimum de soin dans la mise en scène sans nous servir la scène facile des héros stoïques et des méchants qui ne savent pas viser. En bref, pour ceux qui n'ont pas vu la première saison, Kiddy Girl-AND n'est absolument pas représentatif de la qualité de son prédécesseur qui (8 ans auparavant, il faut le rappeler) a su sortir son épingle du jeu à l'époque grâce aux éléments intégralement repris dans cette saison 2. Dernière tare spécifique : là où le choix des noms de code des personnages de Kiddy Grade (aussi en français dans le texte) était étonnement simple et classe, Kiddy Girl-AND souffre d'un choix nettement plus difficile à apprécier pour nous autres francophones (mais cela n'était certainement pas prévu par les créateurs).
-RuFo_ThE_oNe- |
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Kiddy GiRL-AND © 2009 Gimik / Kadokawa Group, Asread
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