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Kamisama Kazoku
Kamisama Kazoku   TITRE ORIGINAL : Kamisama Kazoku
  ANNÉE DE PRODUCTION : 2006
  STUDIOS : [TôEI ANIMATION] [MEDIA FACTORY]
  GENRES : [COMéDIE] [AMOUR & AMITIé]
  AUTEUR : [KUWASHIMA YOSHIKAZU]
  VOLUMES, TYPE & DURÉE : 13 EPS 24 mins
Staff
Episodes
Musique et voix de l'animé
Paroles
Japon
Titres alternatifs
神様家族
God Family
Synopsis
Fils d'un dieu, Samatarou est un jeune étudiant toujours accompagné par son ange gardien nommé Tenko, une amie d'enfance. Cette dernière semble amoureuse de lui. Le père de Samatarou peut à tout moment lire les pensées de son fils et même exaucer ses souhaits. Alors que Tenko et Samatarou semblent se rapprocher, une nouvelle élève est transférée dans leur classe et tout bascule : c'est le coup de foudre. Samatarou va tenter de gagner le cœur de cette nouvelle élève sans le soutien des pouvoirs de son père.

-Milo-
Critiques
------------- Critique 1 -------------
Comme d’habitude dans l’univers du manga papier en France, vers le mois de Décembre, les différents éditeurs annoncent les nouvelles licences qui sortiront durant l’année à suivre. C’est ainsi que fin 2009 Taifu comics annonçait la sortie du manga intitulé « Oh my god » paru en 2006 au Japon. Issue à la base d’un roman à succès écrit par Mr Kuwashima Yoshikazu, l’œuvre avait eu droit par la suite à une adaptation animée. Si cette dernière était sans prétention et est plutôt passée inaperçue par chez nous, l’occasion de cette annonce était trop belle pour ne pas en profiter et remettre cette série sous les feux de la rampe.

Avec un design assez simpliste qui suffit cependant à retranscrire les émotions des personnages avec justesse, on constate que l’auteur à choisit de séparer son œuvre en trois parties principales.

En raison d’un rythme soutenu, riche en rebondissements et en émotions, le premier arc est de loin le plus réussi. Magnifique démonstration de ce que doit être à mes yeux un shönen sentimental, les quatre premiers épisodes possèdent à peu près tout ce que l’on peut attendre du genre : un humour décalé mais bien dosé, des moments de complicité entre les divers protagonistes et bien évidemment des passages émouvants et attendrissants. Si seulement Kamisama Kazoku s’était arrêté à ce merveilleux 4ème épisode qui clôt d’une bien belle manière cet arc, seuls des points positifs ressortiraient certainement en impression.

Malheureusement, les deux parties qui suivent, bien que partantes d’un bon sentiment, sont traitées de façons maladroites. Les passages humoristiques mettant en scène la famille de Samatarou deviennent insistantes et assez lourdes par moment. La légitimité du deuxième arc est d’ailleurs contestable tant la fin déçoit et donne la sensation d’avoir été bâclée alors que sur le fond elle aurait pu être beaucoup plus percutante si seulement l’auteur avait exploité le filon avec plus de justesse. Le troisième arc quant à lui tente de renouer avec le premier sans pour autant atteindre son niveau. Le renversement de situation de ce dernier est encore une fois traité de façon superficielle reléguant définitivement Kamisama Kazoku au rang de série sympathique mais pas incontournable.

Et pourtant, les personnages principaux étaient réussis. Entre Samatarou qui évite le rôle du héros niais et pervers et Tenko jouant remarquablement l’ange protecteur de ce dernier, le courant passe et se transmet au spectateur qui appréciera l’évolution de leur relation. On soulignera tout de même que Tenko de par son travail d’ange gardien qui la force à cacher ses sentiments et son caractère dévoué et attendrissant rappelle très fortement le meilleur personnage à mon sens du genre : Ai de Vidéo girl Ai. Certains comportements et mimiques de cette dernière semblent carrément tirés de l’héroïne de Katsura. Notons d’ailleurs qu’un des personnages de Kamisama Kazoku qui se verra intimement lié à Tenko s’appelle Ai. Simple coïncidence ou clin d’œil voulu de l’auteur, le personnage de Tenko n’en reste pas moins prenant et attachant dans tous les cas. Sa présence, ainsi que celles des autres protagonistes ne suffiront cependant pas à faire oublier les travers du scénario qui gâchent réellement la vision globale que l’on peut avoir de l’œuvre.

En clair, il est difficile de critiquer une série ayant fait si forte impression sur son début et voyant son scénario accumuler les lacunes sur la suite des évènements. Les sourires des divers protagonistes si communicatifs et qui restent en mémoire à la fin de l’oeuvre tendraient à nous faire dire que l’auteur a accompli l’essentiel mais comment oublier ces deux derniers arcs usant d’un background plus sérieux que leur prédécesseur mais abordés de manière bien trop approximative. Kamisama Kazoku reste donc une série agréable à regarder et presque incontournable pour les amateurs du genre en raison de son premier arc qui aurait pu conclure la série. La suite cependant apporte finalement plus de négatif que de positif à l’œuvre en général et donnera sans doute un petit goût amer au fond du palais dont on se serait bien passé.

-Syaoran-


------------- Critique 2 -------------
"Le fils de Dieu, qui, pour parfaire son éducation en tant que futur héritier du monde, vit parmi les humains". C'est une bonne accroche ! Ajoutons à ce début prometteur de l'humour, de l'amour, de l'amitié, un peu de drame et nous avons Kamisama Kazoku le parfait petit cocktail d'une comédie romantique... pour enfants.

Malgré ce que cela laisse sous-entendre, ça n'a rien de négatif.

Kamisama Kazoku est une série légère, amusante et sentimentale qui ne se prend pas au sérieux. Évidemment, légèreté ne signifie pas forcément bâclé. Les thèmes abordés sont réfléchis et émouvants pour la plupart, mais ils sont traités de manière simple et toujours avec un peu d'humour. Ne vous attendez pas à avoir de profondes réflexions sur la vie, sur les choix qui nous conduisent à agir pour le bien ou pour le mal, ou encore sur la nature même du sentiment humain. Les problèmes sont bien là, mais la façon de les solutionner reste loin du domaine de la complexité.

On pourrait presque se dire que les auteurs ont abordé cette série avec un regard d'enfant.

Les personnages sont attachants, burlesques et un peu immatures sur les bords (en particulier la mère de Samatorou, qui rappelons-le, est tout de même une déesse) mais deviennent sérieux et fiables dès qu'il le faut. L'équilibre entre les deux est plutôt bien géré donc on ne s'ennuie pas.

L'animation est à l'image même de la série : légère et sans prise de tête. Correcte et fluide, elle lui convient bien.

Kamisama Kazoku repose avant tout sur la relation amour et amitié plus ou moins compliquée entre Samatorou et Tenko, et il répond parfaitement à toutes les attentes.

La musique est très sympathique. Elle ne fait pas partie de la catégorie de celles dont on se souviendra pendant longtemps, certes, mais elle s'accorde parfaitement à l'ambiance générale de la série et au ton léger et tout en couleur qu'elle donne.

En conclusion Kamisama Kazoku est une petite série de 12 épisodes vraiment sympathique qui se laisse regarder, qui remplit très bien son rôle de comédie romantique et qui plaira aux spectateurs sentimentaux et à larme facile.

-Lola-
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Kamisama Kazoku © 2006 KUWASHIMA Yoshikazu / Tôei Animation, Media Factory



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